CADENET - LOURMARIN - D'un château à l'autre
« J'adore me faufiler dans les rues étroites aux noms évocateurs, écouter la musique d’une fontaine sur une place ensoleillée, sentir les parfums sur l’étale des artisans un jour de marché, pénétrer dans les sous-bois de la colline des Gardis, puis m'émerveiller des belles vues sur la Durance et le Luberon. Nul doute que les villages de Cadenet et Lourmarin ont cette beauté tranquille qui charme le voyageur ». Tony Guarente, guide accompagnateur de la compagnie Cèdres.
Les 20 patrimoines à découvrir
- Eaux et rivières
Fontaine, je ne boirais pas de ton eau !
L'on raconte que la Haute-Fontaine située à l'angle de la rue Kleber à droite, fut construite en 1545, peu après la Fontaine Basse (1535) située av. Gambetta. À l’époque, on ne trouvait aucune fontaine dans l’enceinte des remparts et l'alimentation en eau se faisait à l'aide de puits et de citernes. Se présentant sous la forme d’un buffet d’eau, cette petite fontaine est ornée de deux masques de fonte. Malheureusement, son eau qui traversait l’ancien cimetière, a généré de nombreux cas de typhoïde et causa plusieurs décès. Elle fut définitivement fermée dans les années 1950, puis restaurée récemment.
- Savoir-faire
Ancienne capitale de la vannerie
La commune de Cadenet connut dans la première moitié du XIXe s. une prospérité fondée sur le développement de l’artisanat. De nombreux ateliers de vannerie s’installèrent, travaillant l’osier cultivé dans la vallée de la Durance. La population perpétue d’ailleurs cet héritage vieux de plusieurs siècles mais aussi résolument contemporain. Le Musée de la Vannerie à Cadenet (av. P. de Girard au sud du village), ouvert depuis plus de 30 ans, retrace la richesse de la vannerie à travers les siècles. On y retrouve plus de 2 000 vanneries utilitaires, d’ameublement et d’accessoires qui témoignent d’une activité qui a profondément marqué l’histoire de cette communauté villageoise du XIXe s. à la fin du XXe s.
- Savoir-faire
Cadenet, ancienne capitale de la vannerie
La commune de Cadenet connut dans la première moitié du XIXe s. une prospérité fondée sur le développement de l’artisanat. De nombreux ateliers de vannerie s’installèrent, travaillant l’osier cultivé dans la vallée de la Durance. La population perpétue d’ailleurs cet héritage vieux de plusieurs siècles mais aussi résolument contemporain. Le Musée de la Vannerie à Cadenet (av. P. de Girard au sud du village), ouvert depuis plus de 30 ans, retrace la richesse de la vannerie à travers les siècles. On y retrouve plus de 2 000 vanneries utilitaires, d’ameublement et d’accessoires qui témoignent d’une activité qui a profondément marqué l’histoire de cette communauté villageoise du XIXe s. à la fin du XXe s.
- Patrimoine et histoire
Cadenet, village perché et troglodytique
Si Cadenet reprend les principes de formation des villages perchés du Luberon (un château en hauteur, une église et un village au développement concentrique), la singularité repose ici sur l’adaptation au site des premières habitations. Les maisons se sont alors accrochées aux parois abruptes de l’éperon rocheux dont l’escarpement offrait un triple intérêt : défensif, climatique (abri du mistral) et architectural (falaises de safres propices au creusement d’un habitat troglodytique).
- Géologie
Je vous parle d’un temps...
Il fut un temps où la jeune Méditerranée vint rendre visite à notre région, recouvrant ce qui serait un jour Cadenet. Pour que l’homme se souvienne de son passage, elle laissa sur place de nombreux présents. C’est ainsi qu’elle déposa sur le site du château, il y a près de 10 millions d’année, un épais banc d’huitres de grandes tailles et de coquilles Saint-Jacques. Ces fossiles nous parlent d’une lointaine époque où la Méditerranée s’offrit un voyage dans le Luberon.
- Patrimoine et histoire
Cadenet, place forte
Les ruines du Château de Cadenet occupent le site que les Caudellenses (« Cavares » du nom desquels est issu le nom de Cadenet) avaient choisi pour leur oppidum de Caudellium. C’est-à-dire, trois falaises avec un fossé naturel au nord. Le tout était renforcé par des murailles et protégé par un poste de garde placé sur les Gardis (colline surplombant le site). Si bien que l’oppidum n’était accessible que par une seule porte au nord.
- Patrimoine et histoire
Cadenet, les tourments de l’histoire
Opidum à l’époque romaine, castrum au moyen âge et château jusqu’à la révolution, le site de Cadenet est propice à l’habitat défensif. Sa position stratégique permettait de contrôler le bac de la Durance et le carrefour des grandes routes commerciales. La place forte fût démantelée au XVIIe s. sur ordre de Louis XIV, brûlée à la révolution en 1792 et enfin pillée pierre par pierre au XIXe s. Sans les gravures d’époque il serait bien délicat d’imaginer que se dressait ici, tours, bâtiments, murailles et créneaux.
- Patrimoine et histoire
Albert Camus nétait pas un étranger à Lourmarin
Albert Camus, prix Nobel de littérature pour l'ensemble de son œuvre en 1957, est l’un des écrivains français les plus lus et les plus traduits dans le monde. L'auteur de "L'Etranger" repose à Lourmarin à côté d'Hennri Bosco (on devine le cimetière à droite), un village du Luberon où il aimait tant passer du temps. Il y a notamment écrit ''Le Premier Homme'', roman autobiographique inachevé, puisque le 4 janvier 1960, l’auteur prend la route pour Paris depuis Lourmarin avec le neveu de Gaston Gallimard, Michel, où ils perdront tous deux la vie dans un accident de voiture.
- Patrimoine et histoire
Lourmarin, village perché...
Comme beaucoup de village du Nord et du Sud Luberon, Lourmarin s’est développé de manière concentrique dès le XIe s. et jusqu’au XVIe s. autour d’un château édifié sur un petit mamelon et de son église. Aujourd’hui disparu, le château originel a été remplacé par un beffroi au XVIIe s. alors que le Seigneur des lieux construisit dès la fin du XVe s. une demeure Renaissance plus confortable à l’extérieur du village.
- Patrimoine et histoire
Le château de Lourmarin à la belle époque
Le corps le plus ancien du Château a été construit au XVe s. sur les ruines d’une forteresse du XIIe s. par Foulques d’Agoult, seigneur de Sault et de Reillanne. À partir de 1526, Louis d’Agoult-Montauban et son épouse, Blanche de Lévis-Ventadour, firent élever l’aile Renaissance d’une remarquable unité de style. À la fin du XVIe siècle, l’édifice devient la propriété des Créqui-Lesdiguières, demeurant au Château de La Tour d’Aigues.
- Patrimoine et histoire
Le château de Lourmarin, une destruction annoncée
Passant, après la révolution française de 1789, entre les mains de divers intendants qui ne qui ne gèrent que les terres, le château perd de sa superbe. À la fin du XIXe s., le Château-Vieux n’est que ruines et l’aile Renaissance, transformée en grange devient le refuge de vagabons. En 1920, le Château allait être vendu aux enchères pour servir de carrière de pierres quand il fut providentiellement découvert par un mécène, Robert Laurent-Vibert, qui entreprit de le restaurer.
- Patrimoine et histoire
Robert Laurent-Vibert
Industriel lyonnais, propriétaire des Pétroles Hahn, mais aussi grand érudit, normalien, agrégé d’histoire et membre de l’Ecole française de Rome, entreprit la restauration du Château à partir de 1920. Mais il disparut tragiquement en 1925 dans un accident de voiture. Par un testament établi en 1923, il avait légué le Château à l’Académie des Sciences, Agriculture, Arts et Belles Lettres d’Aix-en-Provence, à charge pour elle d’instaurer une Fondation portant son nom. Ainsi fut créée la Fondation de Lourmarin Robert Laurent-Vibert, reconnue d’utilité publique dès 1927. Le Château, classé monument historique en 1973, est ouvert toute l’année aux visiteurs et propose aussi de nombreuses animations.
- Patrimoine et histoire
Temple protestant de Lourmarin
Le temple est construit, à partir du 17 avril 1861, sur les plans de Michel-Robert Penchaud, datant de 1852. Il est de forme rectangulaire, sur une base de 12 m de long, sur 6 m de large. La chaire, tribune élevée où prend place le prédicateur, est située dans l'abside de l'édifice (demi-cercle derrière le chœur) et est accessible par un escalier à double volée de marches (les deux accès permet à des usagers de ne pas se croiser). La commune de Lourmarin finance les travaux sur le bâti et celle de Puyvert finance le mobilier. Il est inauguré en 1818, après douze ans de travaux.
- Eaux et rivières
La fontaine aux trois masques
Cette fontaine relativement récente fut offerte au village en 1937 par la Fondation Laurent-Vibert qui oeuvra à la restauration du château de Lourmarin. D’aucun diront que ces têtes représentent les éléments naturels importants de la région : Rhône, Durance, Luberon. D’autres prétendront qu’elles évoquent trois divinités grecques Neptune, Apollon et Pan, dieu des troupeaux et des bergers. Le fait est qu’aucun écrit ne corrobore ni l’une ni l’autre de ces affirmations.
- Patrimoine et histoire
Lourmarin, village vaudois
Suite aux nombreuses crises que connaît la région (guerres, pestes, famines…) à la fin du Moyen-Âge, le village est alors quasiment déserté. Afin d’assurer son repeuplement, le Seigneur fait venir des colons vaudois (communauté issue de la Réforme) des Alpes. Le territoire connaît alors une véritable Renaissance bientôt freinée par les persécutions des guerres de religion du XVIe et jusqu’à la fin du XVIIe s.
- Patrimoine et histoire
Sur les pas d'Albert Camus
Son amitié avec René Char établi à L'Isle sur la Sorgue, la lumière et les couleurs qui lui rappelaient son Algérie natale, avaient présidé à sa décision de s'établir à Lourmarin qu'il avait choisi comme refuge et lieu de création. Une promenade littéraire à travers le village lui rend hommage, conjuguant plaisir du texte et du paysage, chaque halte étant choisie pour sa signification dans la vie ou dans l'œuvre de l'écrivain. Ici se faufile la rue Camus qui mène à une ancienne magnanerie (privé, ne se visite pas) où s'installèrent en 1958, Albert Camus, Francine son épouse ainsi que leurs deux enfants.
- Patrimoine et histoire
Aux grands maux les mauvais remèdes
Le 25 mai 1720 un vaisseau, le Grand Saint Antoine accoste à Marseille apportant dans sa cargaison, la Grande Peste. Celle-ci se propage rapidement dans toute la Provence, y compris à Lourmarin, touché une nouvelle fois après l’épidémie de 1348. Devant l’hécatombe et le désarroi des populations, de curieux remèdes sont proposés : un médecin du village préconise des soins… avec de l’urine humaine. Un autre vante les vertus du sang de chat, mais il tombe aussi frappé par le mal et son « remède » disparait avec lui.
- Produits du terroir
La vigne et le vin en Luberon
La vigne occupe une place importante dans le Luberon avec trois Appellations d’Origine Protégée : Luberon, Ventoux et Pierrevert. L’AOP Luberon couvre près de 3000 ha. Grâce aux nuits fraîches en été, ces vins sont équilibrés et élégants. Cette culture a débuté dès l’Antiquité. Les colons grecs ont apporté les premiers ceps de vignes, mais ce sont les romains, grands amateurs de vins, qui ont développé la viticulture dans le Luberon et sur le Pays d’Aigues. Au Moyen Âge, les ecclésiastiques, dont les grands monastères et les papes d’Avignon, participèrent à la promotion du travail de la vigne.
- Produits du terroir
Une démarche éco responsable
Les caves coopératives ont mis au point une réglementation des pesticides, afin de ne plus traiter systématiquement, et de prendre en compte le côté économique de ces traitements qui coûtent très cher. Elles incitent fortement à supprimer les herbicides en semant un rang sur deux des légumineuses pour récupérer l’azote du sol élaboré par ces plantes, et pour créer un réservoir de biodiversité pour les auxiliaires. Les vignerons signent et suivent de façon scrupuleuse cette charte.
- Savoir-faire
Les santons de Provence
Au fil des siècles, les scènes de la nativité ont été jouées par des comédiens sur les parvis des églises, puis les crèches vivantes ont fait leur apparition au Moyen-Âge. Ces figurants ont été remplacés par des personnages en bois, cire, en carton-pâte, en faïence et même en verre au XVIe s. Les santons de Provence, petites figurines en argile très colorés, sont nés à Marseille au XVIIIe s. Ils représentent des personnages aux costumes locaux. La profession de santonnier est encore présente dans de nombreux villages en Provence. À Cadenet se tient chaque année un salon des santonniers.
Description
Dos à la Maison du Citoyen, remonter à gauche la place du Tambour d'Arcole et poursuivre tout droit le Cours Voltaire. Contourner à gauche la place du 4 septembre et s'engouffrer tout droit dans la rue Marceau. Laisser partir à gauche la rue Danton, atteindre la petite place de la Plaine et poursuivre la monter vers la droite, rue Marceau. À hauteur du lavoir, continuer encore tout droit rue Marceau (PR).
1- Au parking, monter à gauche. Avancer sur la piste et 250 m plus haut, filer tout droit, contourner la falaise, longer les remparts puis s'engouffrer à droite dans le fossé de défense. Passer sous la passerelle, puis virer à gauche et emprunter le chemin qui amène sur l'esplanade des remparts du Château de Cadenet (PR). Avancer à gauche vers le théâtre de verdure.
2- Franchir en face la passerelle qui enjambe le fossé des remparts et s'avancer jusqu'au bout du promontoire (non balisé). Rebrousser chemin, repasser la passerelle puis, virer à gauche et suivre la trace qui traverse le prés. Avancer vers la gauche, contourner la butte et poursuivre par le sentier à droite (PR) et longer par dessous le bord du plateau. 230 m plus loin, déboucher sur le sentier du dessus et l'emprunter à gauche (PR). À la première intersection, gravir un raidillon à droite. Déboucher sur une piste et l'emprunter à gauche (PR). Continuer ainsi le Chemin de Balerys sur 1,5 km et atteindre en contrebas la D943.
3- Emprunter la route à droite sur 100 m (prudence !) et bifurquer à gauche sur un petit sentier (PR). Progresser en sous-bois, longer une habitation et descendre la piste à travers vignes (PR). Longer le long mur du jardin d'une maison et poursuivre tout droit. Au goudron, continuer tout droit jusqu'à la D27.
4- Au stop, traverser la route (prudence !) et poursuivre en face en direction du Château de Lourmarin. Emprunter le bas-côté de la route et continuer à droite à l'approche du Château. Après le château, prolonger à droite, dépasser le Temple et avancer tout droit jusqu'au bout de l'av. Raoul Dautry.
5- Devant la rampe du grand escalier qui mène à l'office de tourisme, virer à droite av. Philippe de Girard. Poursuivre à droite la rue principale nommée ''Chemin des Ecoliers'', puis à gauche la rue Henri de Savournin. Filer ainsi plus ou moins tout droit et atteindre la D27 à la sortie du vieux village. Juste avant le stop, suivre le trottoir à gauche, atteindre le passage piéton à hauteur du rond-point et traverser la D943 (prudence !). Emprunter le trottoir à droite sur 10 m.
6- Au carrefour ''La Paccarde'', bifurquer à gauche direction ''Cadenet'' et suivre le Chemin de Saint-André (PR). Dépasser deux grandes demeures et poursuivre tout droit le chemin de terre en balcon. Continuer toujours tout droit aux croisements successifs et atteindre une maison aux volets bleus. Poursuivre en face le chemin revêtu du Gayet (PR). Au carrefour ''Saint-André'', virer à gauche et progresser 1 km sur le chemin revêtu de Coulongue.
7- Au carrefour ''Coulongue'', virer à droite, longer le mur de la maison aux volets gris (PR) et cheminer entre deux champs avant d’amorcer une brève montée en forêt. Déboucher sur des vignes. Continuer en face le chemin (PR) et longer les champs de vignes. À l'intersection, virer à droite. Déboucher sur une petite route revêtue et l'emprunter à gauche sur 300 m (PR). À hauteur de la seconde allée d'oliviers, ne pas manquer de tourner à droite, emprunter sur le chemin revêtu jusqu’à l'entrée d'une habitation puis poursuivre tout droit le chemin d'exploitation en terre (PR). Rejoindre en contrebas une petite route goudronnée et l'emprunter à gauche sur 270 m.
8- Au carrefour ''Les Fourques'', poursuivre tout droit la route en direction de ''Cadenet'' (PR). Franchir un raidillon et poursuivre à gauche le chemin revêtu de la Tuilière (PR). Au carrefour routier, laisser partir l'accès au parking du site du Château et filer tout droit. Dépasser le bas-côté en rocher et au stop, virer à gauche. Descendre et déboucher devant l'église. Bifurquer à droite et emprunter le Cours Voltaire. Repasser place du 4 septembre et filer tout droit pour revenir place du Tambour d'Arcole, point de départ de l'itinéraire.
Itinéraire du réseau touristique départemental de randonnée de Vaucluse (PDIPR 84).
- Départ : Place du Tambour d'Arcole, Cadenet
- Arrivée : Cadenet
- Communes traversées : Cadenet et Lourmarin
Météo
Profil altimétrique
Recommandations
- Après le point 1 : les vestiges du Château de Cadenet nécessite la surveillance des enfants.
- Aux points 3, 4 et 6 : traversée de route à forte circulation : prudence !
- En chemin, à proximité des habitations, je respecte les propriétés privées, je suis toujours courtois avec les autres usagers et les propriétaires des lieux.
- RISQUE INCENDIE. Le feu est l’ennemi de la forêt… et du randonneur ! Je ne fume pas en forêt et n'y allume pas de feu, d'autant que quelle que soit la saison, c'est interdit ! Et en période estivale, avant de partir en balade, je me renseigne sur les conditions et réglementations d’accès aux massifs forestiers.
Lieux de renseignement
Maison du Parc naturel régional du Luberon
60, place Jean Jaurès, 84400 Apt
Au cœur du centre ancien d’Apt, la Maison du Parc du Luberon vous accueille dans un hôtel particulier du XVIIIème siècle.
Informations touristiques et vente de livres, cartes, topoguides.
Musée de géologie, visite gratuite.
Ouvert du lundi au vendredi de 9h à 12h et de 13h30 à 17h30.
OTI Destination Luberon
Place François Tourel, 84300 Cavaillon
Horaires d’ouverture :
CAVAILLON
Du 1er avril au 30 septembre : du lundi au samedi et jours fériés : 9h -12h30 / 14h30-18h.
Du 1er octobre au 31 mars : du lundi au vendredi et jours fériés : 9h-12h30 / 14h-17h30. Samedi : 9h-12h30.
Fermé le dimanche.
Fermetures exceptionnelles le 1er janvier et le 25 décembre.
GORDES
Du 1er avril au 30 septembre : du lundi au dimanche et jours fériés : 9h-12h30 / 14h30-18h.
Du 1er octobre au 31 mars : du mardi au samedi et jours fériés : 9h-12h30 / 14h-17h30.
Fermé le lundi et dimanche.
Fermetures exceptionnelles le 1er janvier et le 25 décembre.
LOURMARIN
Du 1er avril au 30 septembre : du lundi au dimanche et jours fériés : 9h-12h30 / 14h30-18h.
Du 1er octobre au 31 mars : du mardi au samedi et jours fériés : 9h-12h30 / 14h-17h30
Fermé le lundi et dimanche.
Fermetures exceptionnelles le 1er janvier et le 25 décembre.
OTI Luberon Sud Tourisme
Le Château - BP 16, 84240 La Tour d'Aigues
Horaires d’ouverture :
AVRIL / MAI / JUIN ET SEPTEMBRE
Du mardi au samedi : de 9h30 à 12h30 et de 13h30 à 17h30.
EN JUILLET ET AOÛT
Lundi : 15h – 18h.
Du mardi au samedi : 9h30 à 13h et de 15h à 18h.
Dimanche : de 9h45 à 12h45 (du 09/07 au 20/08).
JOURS FÉRIÉS
18 mai (Ascension) : de 9h30 à 12h30.
14 juillet : de 9h30 à 13h et de 15h à 18h.
15 août : de 9h30 à 13h et de 15h à 18h.
Accès routiers et parkings
Stationnement :
Source
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