SAINT ETIENNE DU GRES - Le tour des Alpilles à vélo, en 3 jours
Saint-Étienne-du-Grès

SAINT ETIENNE DU GRES - Le tour des Alpilles à vélo, en 3 jours

Eaux et rivières
Patrimoine et histoire
Point de vue
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Entre falaises, vignes et oliviers, empreignez-vous de l'identité des Alpilles !

Au gré des routes et des chemins du Parc naturel régional des Alpilles, le massif vous fait profiter de ses trésors au parfum de Provence. De village en village, profitez d'un patrimoine riche en histoire et culture, mais également d'une biodiversité offrant de magnifiques paysages et des produits du terroir délicieux. Une expérience unique, pour un coup de foudre assuré !


Les 28 patrimoines à découvrir

  • Savoir-faire

    Les Olivades

    Léonard Quinche s'associe en 1818 avec deux Tarasconnais et crée une fabrique d'indienne à Saint-Etienne du Grès. En 1948, l’entreprise est reprise par Pierre Boudin. En 1977, il crée "Les Olivades", une entreprise familiale qui perpétue l'art ancestral d'impression sur étoffe du sud de la France, tout en l'adaptant à la vie actuelle. La marque Les Olivades a été précurseur en termes de produit haut de gamme fabriqué et vendu par une même entreprise.

  • Eaux et rivières

    Etang de Rambaille

    L'étang de Rambaille est l'un des rares plans d'eau des Alpilles. Artificiel et interdit à la baignade, il puise son eau dans le canal du Vigueirat et compte une superficie de 2,5 hectares. Il fait le bonheur des amoureux de la pêche des environs. On peut y pêcher principalement du poisson à chaire blanche, ainsi que du brochet, de la truite et du sandre.

  • Patrimoine et histoire

    Chapelle Saint-Gabriel

    Au début du Moyen Age, une première église fût érigée à la place d’un ancien lieu de culte païen. Dédiée à l’archange Gabriel, elle est une étape importante du chemin de Saint-Jacques-de-Compostelle. La chapelle actuelle a été édifiée au XIIe s. et témoigne de la splendeur de l’art roman en Provence. Son plan simple et ses proportions élégantes sont relevés par un portail monumental inspiré de l'Antique, richement décoré de frises sculptées, de bas reliefs et d'un oculus entouré du tétramorphe (les symboles des quatre évangélistes) : en haut l'aigle de Saint Jean, en bas l'ange de Saint Matthieu, à gauche le lion de Saint Marc et à droite le taureau de Saint Luc.
    L'agneau portant la croix qui surmonte le fronton triangulaire représente quant à lui le Christ, sacrifié pour racheter les péchés des Hommes.

  • Patrimoine et histoire

    Le moulin d'Alphonse Daudet

    Entre le XVIIIe et le début du XXe siècle, Fontvieille vivait au rythme des moulins à vent. Construits sur un promontoire rocheux, quatre moulins coiffent les collines aux alentours de Fontvieille. Le Moulin de Daudet, le plus récent des quatre moulins construits, a cessé de fonctionner en 1914. Il a été transformé en 1935, rendant hommage au célèbre écrivain Alphonse Daudet qui fit vivre à travers les "Lettres de mon moulin", les conséquences des mutations techniques de l’époque.

  • Patrimoine et histoire

    Meunerie hydraulique de Barbegal

    Cette meunerie a été construite au IIe s. et aurait servi 100 ans. Construite en flanc de coteau sur une pente de 30° et alimentée par la branche orientale de l'aqueduc de Barbegal, cette meunerie se composait de deux rangées parallèles de huit roues à eau qui actionnaient seize moulins. Elle formait un rectangle de 42 m sur 20 et produisait environs 25 tonnes de farine par jour.

  • Patrimoine et histoire

    Aqueduc romain de Barbegal

    Lieu chargé d'histoire, les aqueducs et la meunerie de Barbegal constituent un ensemble romain du 1er s. av. au 2e s. apr. J.C. Les arches de deux aqueducs sont encore visibles. L'une amenait l'eau des Alpilles jusqu'à la cité d'Arelate (Arles) et l'autre faisait fonctionner la meunerie que l'on devine encore sur le versant. Véritable complexe industriel, la meunerie était constituée de 16 roues et produisait jusqu'à 25 tonnes de farine par jour.

  • Patrimoine et histoire

    Le village du Paradou

    Le village du Paradou, ne tient pas son nom du "paradis", mais du nom provençal donné aux moulins qui étaient utilisés par les tisserands installés le long de la rivière de l'Arcoule. Au Moyen Age, ce village s'appelait St-Martin-de-Castillon et était sous l'autorité seigneuriale des Baux-de-Provence. Il faut attendre 1796 pour que le Paradou se détache des Baux, pour devenir une commune à part entière. Il est aussi le lieu qui a vu naître Charloun Rieu, poète provençal, ami de Frédéric Mistral.

  • Eaux et rivières

    Pont-canal de la vallée des Baux

    Dans le massif des Alpilles, de nombreux ouvrages hydrauliques ont été construits pour approvisionner l'ensemble des communes en eau. Le canal de la vallée des Baux, mis en eau depuis le 3 juillet 1914, passe le long des piémonts sud du massif. La spécificité de ce milieu associée à celle d'un canal, qui doit comprendre une pente douce permettant le bon écoulement de l'eau, a conduit à l'aménagement de plusieurs ponts-canaux sur les communes de Maussane-les-Alpilles et du Paradou.

  • Patrimoine et histoire

    Fresque de Jean-Claude Quilici

    Cette fresque a été réalisée, en 2014, par 35 élèves sous la tutelle de l'artiste Jean-Claude Quilici. Ce dernier est un peintre d'origine corse, né à Marseille en 1941, qui possède un atelier à Maussane-les-Alpilles. Spécialisé dans la peinture provençale, il a exposé dans les plus grandes galeries françaises, américaines et japonaises.  Il a, entre autres, réalisé une fresque de 40 m sur 4 m pour l’université de Corte, et une décoration murale de 130 m de long pour le métro de Marseille.

  • Eaux et rivières

    Lavoir Napoléon III

    Ce lavoir de style Second Empire (Napoléon III), fut inauguré le 26 mars 1865, après avoir été réalisé par l’architecte avignonnais Louis Astruc. Les habitants de la commune y venaient pour faire leur lessive, en faisant un lieu de rendez-vous social important. Ce lavoir présentait pour l’époque une grande particularité : il permettait de faire la lessive debout, et non plus à genoux. 

  • Produits du terroir

    Oliveraie

    Culture emblématique du territoire des Alpilles, l'olivier est le symbole du climat méditerranéen sec. Ses troncs multiples sont la conséquence d'un recépage au niveau de la souche suite à un gel important en 1956. Aujourd’hui, certaines des olives et les huiles produites dans les Alpilles sont reconnues à l’échelle nationale et internationale, bénéficiant de l'Appellation d'Origine Protégée (AOP).

  • Produits du terroir

    Route des oliveraies

    Sur la D24a reliant Mouriès à Aureille, les nombreuses oliveraies illustrent l'ensemble des différentes pratiques propres à la plantation d'oliviers. Celles-ci allant de la culture intensive avec ses plants serrés et son sol nu, à la culture biologique avec ses plants très espacés et son couvert végétal.

  • Point de vue

    Mosaïque végétale

    Cette mosaïque végétale irrégulière est la finalité de travaux de débroussaillage réalisés dans le cadre du programme LIFE des Alpilles. Elle consiste à favoriser la réinsertion d'espèces vivant en milieu ouvert. Il s'agit de petit gibier, tel le lapin de garenne et la perdrix rouge, principales sources de nourriture pour les oiseaux prédateurs des Alpilles comme l'aigle de Bonelli et le vautour percnoptère.

  • Patrimoine et histoire

    Notre-Dame-de-l'Assomption

    Alors que le village était déjà doté d'une église, la construction de Notre-Dame-de-l'Assomption fut initiée par l'abbé Pauleau, arrivé à Aureille en 1867. La première pierre fut posée par l'archevêque d'Aix, Georges Chalandon, le 31 mars de cette même année. Ses plans et son style néo-roman sont l'œuvre de l'architecte arlésien Auguste Véran.

  • Point de vue

    Vue sur les Opies

    Ce massif des Alpilles, se caractérise par un ensemble de crêtes où se trouve le point culminant du territoire du Parc : les Opies, à 498m d'altitude. De la tour vigie qui symbolise le sommet, il est possible de voir jusqu'aux massifs alpins. Cette tour était une vigie, construite à l'aube du XXe s., afin de surveiller le massif contre l'incendie. Elle sert désormais à abriter du mistral les aventuriers qui ont atteint le sommet.

  • Point de vue

    Vue sur les Civadières

    Situées à proximité immédiate du point culminant des Alpilles, les crêtes des Civadières, hautes de 446 m offrent un large panorama sur le massif des Alpilles, le Petit Luberon et le Mont Ventoux. Elles font parties des plus anciennes formations géologiques du Parc, datant du Jurassique. 

  • Point de vue

    Vue sur la plaine de Roquemartine

    Cette ouverture du paysage, qui fait suite à une pinède, dévoile la plaine de Roquemartine. Celle-ci est comprise entre l'extrémité Est des Alpilles sur la gauche et le Mont Menu ainsi que le Défens sur la droite. Au loin, on peut aussi distinguer très nettement les premiers reliefs du Petit Luberon. Elle forme un paysage où chaque élément compose un ensemble harmonieux, d'une grande sérénité.

  • Patrimoine et histoire

    Château de Roquemartine

    Erigé entre le XIe et le XIIe s., le castellas de Roquemartine, dit "château de la Reine Jeanne", est marqué par une histoire tumultueuse où les alliances se font et se défont au gré des rivalités seigneuriales. Sa position éminemment stratégique permet en effet de contrôler militairement et économiquement les voies de communication au Sud et à l'Est des Alpilles. Surplombant les vallons d'Eyguières, "trouées" naturelles et véritables portes de la Crau, le château a été durant des siècles un important péage, garantissant à son propriétaire des revenus considérables .
    Ce site privé est classé Monument Historique depuis 1926.

  • Savoir-faire

    Haies provençales

    Symboles de la Provence, de nombreuses haies segmentent le territoire et séparent les diverses parcelles. Composées de cèdre ou de cyprès, ces haies ont pour fonction première de protéger du mistral et du gel les différentes cultures. Ces arbres sont aussi connus pour leur bois, très solide et parfumé, et qui ont servi à constituer la charpente de nombreux mas des Alpilles.

  • Point de vue

    Vue sur la chapelle Notre-Dame de Beauregard

    Lieu de pèlerinage chrétien aujourd’hui, ce promontoire est un lieu de culte probablement depuis la protohistoire. Plusieurs vestiges d’autels ont été trouvés sur le site. La chapelle actuelle a été érigée en 1878 sur l’emplacement d’une chapelle devenue trop petite pour accueillir les pèlerins. De nombreux ex-voto témoignent d’une grande ferveur religieuse accordée à ce lieu. Le bâtiment en contrebas est un ancien couvent construit par les Augustins Déchaussés (XVIIe s.).

  • Patrimoine et histoire

    Porte médiévale Sainte-Anne

    Entrée ouest de la deuxième enceinte d’Orgon, cette porte a un âge exact diificile à estimer. Mais on sait que celle-ci a vu passer de nombreuses personnalités importantes depuis le XVIe s. Notamment, François 1er qui, revenant d’Italie en 1516, s’arrêta quelques heures avant de continuer vers Tarascon ; le Pape Pie VII, qui séjournera à Orgon et fut hébergé à l’hôtel de Berne N°13 rue Edmond Coste ; ou encore Napoléon 1er, qui passa par Orgon pour se rendre à l’île d’Elbe.

  • Patrimoine et histoire

    Route de Jean Moulin, chemin de la liberté

    Cette route est inaugurée en 1978, neuf ans après le mémorial à Salon-de-Provence qui fait hommage, lui aussi, à Jean Moulin. Elle part de Saint-Andiol et aboutit à Salon-de-Provence. Très attaché aux Alpilles, où il possédait une petite bastide, Jean Moulin a choisi cette terre familière pour se faire parachuter et entamer sa mission d’unification des réseaux de résistance de la France inoccupée.

  • Patrimoine et histoire

    Chapelle Saint-Sixte

    Son nom se rapporte à Sixte II, contemporain de Saint-Laurent et pape des premiers temps de l’Eglise chrétienne. La chapelle est située sur un ancien lieu de culte : jusqu’au XIXe s., il abritait une stèle païenne, qui servit ensuite de pied de bénitier. Celle-ci témoignait d’un culte voué à l’eau. La première référence qui est faite concernant la chapelle date de 1155. Des modifications importantes furent apportées au XVIe s. et XVIIe s., car elle servit de lazaret durant les pestes de 1629 et 1720.

  • Point de vue

    Vue sur les Calans

    Ici, le relief des Alpilles s'apparente à des dents de roches calcaires formant une barrière naturelle. Cette dernière limite l'accès au coeur du massif à de petits passages comme le Pas du Suisse. On distingue à gauche le fameux Calan de Rousset, isolé du reste du massif et haut de 275 mètres.

  • Patrimoine et histoire

    Pont dit Romain

    Le pont dit Romain ne date pas de l’Antiquité mais bien du Moyen Age. Sa dénomination reste encore aujourd’hui un mystère. Il a été construit sur le chemin des Poissonniers, qui lui était déjà emprunté durant l’Antiquité, pour suppléer le gué qui traverse le gaudre de Romanin (un gaudre est un cours d’eau temporaire). Cette voie antique partait de la chapelle Notre-Dame de Piargues (ou Notre-Dame-de-Romanin) et rejoignait Mouriès en traversant la Vallongue.

  • Produits du terroir

    Vignes et oliveraies

    Les agriculteurs du Parc naturel régional des Alpilles proposent toute une gamme de produits du terroir, avec entre autres le vin, les olives et leurs huiles qui représentent une part importante de la production. Dès lors les plantations de vignes et oliviers sont des éléments structurants du territoire, offrant des paysages agricoles ouverts sur les différents massifs avoisinants.

  • Eaux et rivières

    Canal des Alpines septentrionales

    Le réseau du canal des Alpines septentrionales s'étend sur 119 km, partant d'Orgon et aboutit dans les roubines de l'Anguillon et du Vigueirat. Commencée en 1826, sa construction fût ralentie par des conflits d'intérêts et se termina en 1875. A l'époque, sa vocation est de venir compléter le canal des Alpines méridionales fini en 1772, pour alimenter en eau 18 communes et 40 moulins supplémentaires. 

  • Patrimoine et histoire

    Croix de la chapelle Notre-Dame-du-Château

    Cette croix annonce le sentier qui mène à la chapelle romane Notre-Dame-du-Château. Celle-ci est mentionnée pour la première fois en 1180 et fut restaurée vers 1419. Erigée sur la colline Saint-Michel-de-Briançon, elle domine le village de Saint-Etienne du Grès, ancienne paroisse de la ville de Tarascon. C’était une chapelle prieurale dépendant de l'abbaye Saint-Laurent d'Avignon. Depuis 1350 elle accueille la "Belle Briançonne", une statue de la Vierge à l'Enfant très connue des Tarasconnais.


Description

Dos au parking, suivre à droite la D32, direction Fontvieille. A l’intersection avec la D33, l’emprunter à gauche. Après 500 m, bifurquer à droite sur la draille des Joncs. Au bout, retrouver la D33 et rejoindre Fontvieille par la droite.

1- Au rond-point, prendre à gauche, puis au carrefour continuer tout droit. Après 2,5 km, tourner à gauche sur la route, direction «Aqueduc Romain ». La suivre sur 6 km jusqu’au centre-bourg du Paradou.

2- Au croisement, continuer sur l’avenue Jean Bessat. Emprunter la D17 à droite, puis à gauche la D78b direction Les Baux. Au bout, suivre à droite la D78f. 1 km plus loin, bifurquer à droite sur la D27 et rejoindre le centre-bourg de Maussane.

3- Au croisement avec la D17, tourner à gauche. Après 800 m, prendre à gauche la D5, direction Eygalières. Au carrefour suivant, suivre à droite la direction «Le Petit Roman ». Poursuivre sur cette route jusqu'à l'intersection avec la D17.

4- Tourner à gauche sur le chemin d'Alphonse Daudet, avant la D17, et continuer jusqu’au rond-point. L’emprunter à gauche pour suivre la D24. Après 1,5 km, récupérer à droite la D24a et la suivre jusqu'à Aureille.

5- Emprunter à gauche la D25a. Après 4 km, gravir à droite la D25 et continuer sur 7,5 km. Au carrefour avec la D569, prendre à droite. Au rond-point, poursuivre en face sur 150 m.

6- Tourner à gauche en direction de Sénas et continuer pendant 7 km. Franchir le rond-point direction Sénas. Après 300 mètres, prendre à gauche le chemin de « Donne », juste avant le passage à niveau. Continuer jusqu’à Orgon.

7- Traverser Orgon par la rue de la Fontaine, puis la rue Edmond Coste. Poursuivre par la montée du Paradis et l’avenue Jean Moulin. A l’intersection avec la D24b, tourner à gauche et continuer pendant 7 km jusqu’à Eygalières.

8- Traverser le village et continuer sur la D24b sur 2 km. Tourner à gauche sur la D24, en direction de Mouriès. Au pied des Calans, prendre à droite le chemin balisé GR. Passer le pont dit Romain, à la patte d'oie rester à droite et suivre ce chemin sur 3 km.

9- Continuer tout droit sur la voie Aurelia jusqu’au panneau d’entrée de ville. Continuer jusqu’à l’avenue Van Gogh. La traverser et suivre l’avenue Joseph d’Arbaud. Poursuivre sur le "Chemin Gaulois". Virer à gauche après le canal, puis emprunter à gauche le vieux chemin d'Arles jusqu'à l'intersection avec la D27. La traverser et poursuivre tout droit jusqu’à St-Etienne du Grès.

  • Départ : Parking de la Salle des Fêtes, Saint-Etienne du Grès
  • Arrivée : Saint-Etienne du Grès
  • Communes traversées : Saint-Étienne-du-Grès, Tarascon, Fontvieille, Paradou, Les Baux-de-Provence, Maussane-les-Alpilles, Mouriès, Aureille, Eygalières, Eyguières, Lamanon, Sénas, Orgon, Saint-Rémy-de-Provence et Mas-Blanc-des-Alpilles

Météo


Profil altimétrique


Recommandations

L'itinéraire se faisant en 3 jours, pensez à réserver un hébergement en fonction de la distance à parcourir le premier jour. Contactez les Offices de tourisme de Saint-Rémy-de-Provence, de Maussane-les-Alpilles, Eyguières et Orgon.

En été, les espaces naturels sont plus exposés aux risques d’incendie. L’accès est réglementé par arrêté préfectoral du 1er juin au 30 septembre pour protéger les promeneurs et les sites. Renseignez-vous pendant la période estivale au 08 11 20 13 13 (prix d'un appel local) ou sur http://bpatp.paca-ate.fr/


Lieux de renseignement

Maison du Parc naturel régional des Alpilles

2, boulevard Marceau, 13210 Saint-Rémy-de-Provence

http://www.parc-alpilles.fr/contact@parc-alpilles.fr+33 (0)4 90 90 44 00

C’est en plein cœur du centre-ville de Saint-Rémy-de-Provence que la Maison du Parc des Alpilles vous accueille dans ses locaux entièrement rénovés. Ce nouveau lieu vivant est multi-fonctions : il héberge l’équipe d’ingénierie du Parc mais dispose également d’un espace d’accueil du public, de salles d’exposition. Véritable centre de ressources des patrimoines du Parc, il a pour ambition de faire rayonner les habitants, les visiteurs et les touristes sur l’ensemble des 16 communes du Parc.

Ouvert du lundi au vendredi de 9h à 12h30 et de 13h30 à 17h.

Entrée gratuite.

En savoir plus

OTI Alpilles-en-Provence

Place Jean Jaurès, 13210 Saint-Rémy-de-Provence

http://www.alpillesenprovence.comsaintremy@alpillesenprovence.com+33 (0)4 90 92 05 22

Transport

Chercher les horaires des transports en communs sur le site https://zou.maregionsud.fr/ sur la commune de Saint-Etienne du Grès.

Accès routiers et parkings

A 6 km de Tarascon et 9 km de Saint-Rémy-de-Provence, par la D99.

Stationnement :

Parking de la Salle des Fêtes, Saint-Etienne du Grès

Accessibilité

VTC
Numéro de secours :114

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