BONNIEUX -LACOSTE - Forêt des Cèdres du Petit Luberon
« J'ai commencé à avoir une relation plus forte avec la forêt des cèdres quand j'ai décidé de me chauffer au bois et de faire des coupes là-haut, sur Lacoste ou Bonnieux. C'est devenu comme un refuge, un allié, un coin de repos. C'est paradoxal, parce que couper du bois, c'est dur, mais là-haut, j'avais la vue, le bon air, la tranquillité, la paix. Quand j'ai été élu en 1995, j'ai découvert qu'une grande partie de la forêt des cèdres est sur la commune de Lacoste, alors qu'on parle souvent de la forêt des Cèdres de Bonnieux, je me suis élevé contre ça, on dit maintenant la forêt des cèdres du Petit Luberon ! ». Mathias Hauptmann, maire de Lacoste.
Les 24 patrimoines à découvrir
- Flore
La forêt des cèdres
En 1862, des graines de cèdre en provenance de l’Atlas algérien sont semées par quelques forestiers convaincus, afin de tenter de reboiser le sommet du Petit Luberon. Ces cèdres de 1ère génération ont maintenant 160 ans, ils ont une silhouette imposante et sont arrière-grands-parents. Leurs descendants les entourent et forment la forêt d’aujourd’hui.
- Flore
L'extension de la cédraie
À l’automne, un nuage de poussière jaune constitué de millions de grains de pollen emplit l’atmosphère : il s’échappe des châtons mâles et féconde ainsi les fleurs femelles. Dotées d’une membrane en forme d’aile de papillon, les graines peuvent être entrainées par le vent, favorisant de cette manière une bonne dispersion de l’espèce.
- Savoir-faire
GRF, ces jeunes vous informent !
Entre le 1er juillet et le 31 août, vous pourrez rencontrer sur le site de la forêt des Cèdres du Petit Luberon, un des binômes de la Garde Régionale Forestière (GRF, anciennement APSIF). Dans le cadre d'un dispositif mis en place depuis 2005 par la Région et déployé sur le territoire par le Parc naturel régional du Luberon, ces jeunes sont recrutés et formés pour expliquer aux usagers de l’espace naturel, les dispositifs qui règlementent l’accès aux massifs forestiers l’été sur le territoire : niveaux d’alertes, créneaux horaires, zones dérogatoires. Ils peuvent également relayer l’alerte sur un éventuel départ de feu. Enfin, ils participent activement à la sensibilisation sur le bon comportement des visiteurs en milieu naturel, et informent les estivants sur l’offre touristique locale et les possibilités de balades.
- Flore
Les départs de feux
En forêt, il suffit d’une étincelle pour déclencher un feu. Et cette étincelle est souvent allumée à moins de 100 m d’une habitation ou d’une route. Car la cause principale des feux de forêt est l’imprudence, elle est responsable de 4 feux sur 5. Les mégots, les barbecues, les jeux d’enfants, les travaux domestiques mais aussi agricoles et forestiers sont les principales causes. En comparaison avec une cause "naturelle", la foudre n’est responsable que de 8% des départs. Soyons vigilants, soyons responsables !
- Patrimoine et histoire
1952, le grand incendie
Le 18 juillet 1952, le massif du Luberon a connu l’incendie le plus important et catastrophique de son histoire. Il détruisit 2 030 ha de forêt, touchant particulièrement les communes de Lacoste, Bonnieux et Ménerbes et n’épargnant que le cœur de la cédraie. Le feu dura sept jours, alimenté par le Mistral. Certains vieux cèdres portent les cicatrices de cet incendie dévastateur, et d’autres, épargnés en apparence, sont calcinés de l’intérieur.
- Flore
De l'Atlas ou du Liban ?
C'est bien connu, les cèdres qu'on peut observer en France proviennent des rives Sud (Cèdre de l'Atlas) et Est (Cèdre du Liban) de la Méditerranée… Mais sauriez-vous distinguer ces deux espèces ? La chose est loin d'être aisée : il semble que le meilleur critère soit celui des jeunes rameaux qui sont densément pubescents (c'est-à-dire densément et courtement poilus) chez le Cèdre de l'Atlas alors qu'ils sont glabres ou à poils épars chez le Cèdre du Liban. A vous de jouer !
- Faune
La forêt, immeuble de vie
L’écosystème forestier abrite une vie diversifiée. Dans l’ambiance fraîche du sous-bois, à l’ombre du feuillage, le sol est riche en micro-organismes qui contribuent à sa fertilité. Les vieux arbres et le bois mort hébergent larves d’insectes, champignons, petits animaux (comme le lucane cerf-volant). Les oiseaux occupent tous les étages des buissons au sommet des grands arbres (mésanges, sittelle torchepot, hibou moyen duc, pic noir, cicaète Jean-le-blanc). Les reptiles et mammifères (sangliers, chevreuils) sont également très présents.
- Flore
L'Homme et la forêt
Solide et odorant, naturellement résistant aux intempéries, le bois de cèdre est apprécié depuis l’Antiquité. Ici, les cédraies communales de Ménerbes, Lacoste et Bonnieux sont gérées par l’Office National des Forêts (300 ha). Elles sont exploitées régulièrement par des coupes d’éclaircies, qui produisent du bois d’œuvre tout en garantissant le renouvellement de la forêt. Le cèdre est utilisé à une échelle locale pour la menuiserie et la construction.
- Flore
Sylviculture, biodiversité et patrimoine
Dans le Luberon, 60 % du territoire est boisé ! Ici les forêts sont essentiellement publiques, une partie est privée. Des partenariats permettent d'assurer une mise en valeur optimale grâce à la connaissance partagée de la richesse de ces forêts en termes de biodiversité, y compris génétique avec des recherches de l'INRA Avignon sur le Cèdre. En 2019, sur le périmètre de l'Espace Naturel Sensible de la cédraie du Petit Luberon, 110 cèdres fondateurs survivants ont été identifiés !
- Savoir-faire
Le Petit Luberon de Roger
Roger Jouve (1936 - 2024) était un éleveur berger entre Durance et Petit Luberon, territoires dont il avait une grande connaissance, notamment de la faune mais pas que. Homme joyeux et espiègle, toujours curieux de tout, érudit autodidacte, en prise directe avec le monde, les animaux, la nature. Ecoutez-le sur « Le Luberon nous parle ».
- Flore
Matorral à Genévrier de Phénicie
Le Genévrier de Phénicie (Juniperus phoenicea) est un petit conifère ressemblant un peu au cyprès en raison de ses feuilles en écailles, et qui ne piquent pas la main quand on les caresse. C'est un spécialiste des milieux rocheux exposés : parois, corniches, belvédères... Son inaccessibilité lui permet parfois de vivre plusieurs siècles, loin de la main de l'homme et de la concurrence végétale ! Au Portalas, il forme un magnifique "matorral", terme désignant en écologie une formation ouverte d'arbres et arbustes à feuilles persistantes.
- Point de vue
Du belvédère aux vallons intimes
Le Petit Luberon est visible depuis partout et très présent dans le paysage. À l'aplomb du promotoire du Portalas, le regard butine de larges panoramas. Mais cette unité paysagère se caractérise aussi par les micros ambiances très intimes comme les vallons boisés ci-dessous et les combes rupestres voisines. À nos pieds, la marque de l'homme se fait discrète et de plus en plus pesante au-delà de La Durance.
- Point de vue
Le belvédère du Portalas
Ce belvédère offre un point de vue superbe sur le versant sud du Petit Luberon et son labyrinthe de vallons puis sur la vaste plaine de la Durance. Il y a 200 000 ans, cette rivière était un fleuve qui passait par le seuil de Lamanon pour aller se jeter dans la mer, édifiant son delta à l’emplacement actuel de la plaine de la Crau.
- Flore
Exceptionnelles pelouses des crêtes
Issues de la pratique ancestrale du pâturage et des contraintes particulières des climats méditerranéen et alpin combinés, les pelouses du Luberon abritent de nombreuses espèces patrimoniales de plantes et d’insectes. Elles constituent aussi les zones de chasse des grands rapaces qui nichent dans les falaises et en forêt. Des suivis scientifiques des espèces rares et sensibles sont effectués sur plusieurs sites du Luberon.
- Géologie
Le Mourre Nègre
La rivière Aiguebrun, qui prend sa source sur le plateau des Claparèdes, a entaillé le massif du Luberon, du nord au sud, creusant la combe de Lourmarin. Elle sépare le Grand Luberon, aux formes arrondies dominé par le Mourre Nègre (1125 m), du Petit Luberon qui culmine au Mourre du Cairas (726 m) et dont le plateau sommital calcaire porte la forêt des Cèdres.
- Flore
À chaque espèce son milieu...
En face, dans le vallon et sur le coteau de Malubac, chacun des arbres se cantonne dans des milieux différents. Le chêne pubescent préfère le sol profond et l’humidité du fond du vallon. Le chêne vert, moins exigeant en eau, affectionne les pentes rocailleuses et plus sèches. La garrigue s’est installée sur le tapis végétal appauvri après l’incendie de la pinède en 1952.
- Faune
Vautour percnoptère
Le Luberon est l’un territoire refuge pour le rare et protégé Vautour percnoptère (Neophron percnopterus). Véritable équarrisseur naturel, il est menacé par les dérangements successifs près de son nid en période de nidification, la régression des troupeaux et l’appauvrissement de ses ressources alimentaires. Pour assurer la survie de cette espèce, le Parc du Luberon organise l'approvisionnement de placettes d’alimentation et effectue un suivi rapproché. En France, on compte 82 à 88 couples de percnoptères territoriaux, dont 4 à 5 dans le Luberon. Sur les falaises voisines du Portalas, le respect de la tranquillité des lieux au printemps et en été, permettra au Vautour de nicher en toute quiétude.
- Flore
Ophrys de Sarato
Les Ophrys sont des orchidées aux formes particulièrement esthétiques et complexes, dont le pétale inférieur, dénommé "labelle", mime le corps velu des abeilles sauvages. Attirés par ces formes ainsi que par le parfum copiant les phéromones des femelles, les mâles trompés vont ainsi de fleur en fleur transporter le pollen. Sur ces pelouses est présent au printemps l'Ophrys de Sarato (Ophrys saratoi), espèce protégée, endémique de Provence et du Dauphiné (Interdiction de cueillette !).
- Patrimoine et histoire
Anciennes charbonnières
Les plateformes circulaires de terre noircie que l'on devine en chemin, sont le témoignage de l’exploitation passée du taillis de chêne par des charbonniers. Difficilement transportable, le bois était transformé sur place en charbon, améliorant ainsi le rapport poids/valeur énergétique. Avec 4 kg de bois sec, on produit environ 1 kg de charbon de bois. Les charbonniers vivaient sur leur lieu de travail, parfois en famille, dans des cabanes sommaires aujourd'hui disparues.
- Flore
Fleur de conte
La campanule raiponce (campanula rapunculus) est reconnaissable par ses petites fleurs bleues pendantes en forme de cloche, disposées le long de sa tige pour former une longue grappe. Avant floraison, elle a un goût savoureux, pouvant être dégustée en salade. C’est d’ailleurs la fameuse plante qui soigne la reine dans le conte des Frères Grimm adapté par Disney et qui donne nom à sa fille et princesse, Raiponce.
- Flore
La Fraxinelle
Au mois de mai, vous pouvez découvrir ici la magnifique Fraxinelle (Dictamnus albus), aux feuilles rappelant celles du Frêne (Fraxinus = Frêne en latin). Toute la plante est recouverte de glandes à odeur de cannelle et de citron. On dit que ces glandes dégagent une essence volatile spontanément inflammable par temps chaud et lourd , d'où l'autre surnom de la plante : "buisson ardent". Attention : cueillette interdite car la plante est rare et protégée dans notre région !
- Flore
Le buis : engrais d'hier
Reconnaissable à son feuillage, persistant et luisant, le buis (Buxus sempervirens L.) est riche en azote. Utilisé jusqu’au début du siècle dernier pour la litière des animaux, il était ensuite répandu dans les champs comme fertilisant azoté. Non comestible pour le troupeau, l’abandon de cette pratique et la régression du pastoralisme ont favorisé l’envahissement des milieux ouverts par le buis. Il a une longévité exceptionnelle puisqu’il peut vivre 5 à 6 siècles et atteindre plusieurs mètres de haut.
- Elevage et pastoralisme
Avant les cèdres, les pâturages
Avant l’introduction du cèdre, les crêtes du Luberon étaient entièrement pâturées. Aujourd’hui, les troupeaux continuent d’assurer, avec l’aide de débroussaillements, l’entretien des milieux ouverts restants. Sur la gauche, on devine bien la darille du troupeau. Ainsi, les pelouses sèches et garrigues perdurent et abritent une diversité exceptionnelle de plantes et d’insectes, de reptiles, de mammifères et d’oiseaux. Les grands rapaces des falaises et forêts voisines les utilisent comme territoire de chasse.
- Point de vue
Le sentier du Portalas
Ce sentier de découverte, ponctué de plusieurs bornes d'interprétation, traverse les principaux milieux naturels du massif et mène à une table de lecture du paysage située sur les crêtes dominant l'arche du Portalas. Même si la fin du parcours est commun au ''Chemin des Cèdres'', le relief de cet itinéraire (3,5 km / +104 m), ne permet pas un accès aux personnes en situation de handicap, comme c'est le cas sur le Chemin des Cèdres, qui part de l'autre côté de la piste.
Description
S’avancer au bout du parking, franchir la barrière par le passage piéton dédié et atteindre la signalétique d’accueil. Avancer tout droit une centaine de mètres et rejoindre le carrefour où se séparent les 4 parcours balisés.
1- Partir à droite sur le ''Chemin des cèdres'' (flèche bleu). Au premier croisement, quitter le ''Chemin des cèdres'', virer à droite et filer sur le ''Chemin du Pré Roustan'' (balisage vert). Emprunter ce PR local (balisage vert) sur 750 m en ignorant les chemins de part et d'autres.
2- Au carrefour avec le ''Chemin de Valmasque'' (PR jaune), remonter à gauche. 240 m plus loin, bifurquer à droite et descendre le chemin en sous-bois du Pré Roustan (balisage vert). Au croisement de chemins, poursuivre à gauche puis 150 plus loin, virer à droite et s'engager sur le sentier sous les cèdres (balisage vert).
Ignorer un chemin à droite puis un à gauche.
3- A la piste forestière revêtue, l'emprunter à gauche. Passer 2 virages, longer une citerne DFCI, et continuer tout droit sur la piste (balisage vert).
4- Au carrefour "Pré de Roustan", virer à droite en direction du Portalas. S'enfoncer sous les grands cèdres. 600 m en contrebas, à la fourche, poursuivre à droite. Sortir de la forêt et s'avancer jusqu'au bord de falaises.
5- Partir à droite le long des genévriers et s'avancer 150 m pour aller dominer l'arche du Portalas. Ensuite, faire demi-tour et revenir au point 5. Là continuer tout droit jusqu'au point de vue (borne de lecture de paysage). Poursuivre légèrement à gauche sur le sentier qui s'éloigne des crêtes. Descendre et filer à droite sur le sentier rocailleux (PR jaune).
6- Au carrefour "Portalas", quitter le PR jaune, bifurquer à gauche et descendre, franchir plusieurs lacets et déboucher au fond du vallon (PR jaune). Remonter à gauche. 650 m plus haut, passer un grand virage sur la droite, 100 m plus haut ignorer un premier chemin sur la gauche et s'engager sur le second (PR jaune).
7- Au croisement avec le ''Chemin des Cèdres'', l'emprunter à droite, franchir le labyrinthe (platelage en bois). Poursuivre sur la gauche (flèche bleu).
1- Au déboucher sur la piste revêtue, virer à droite et retourner au parking du départ.
Itinéraires du réseau touristique départemental de randonnée de Vaucluse (PDIPR 84).
- Départ : Parking forêt des cèdres du Petit Luberon
- Arrivée : Parking forêt des cèdres du Petit Luberon
- Communes traversées : Bonnieux, Lacoste et Puget
Météo
Profil altimétrique
Recommandations
- Attention aux chevilles sur les quelques passages rocailleux, en particulier vers les points 4 et 5.
- ATTENTION ZONE PASTORALE de début juin à fin juillet : en présence de chiens de protection venus à ma rencontre, je ne les caresse pas ni ne les menace. Je m'arrête, puis j'attends patiemment la fin du ''contrôle'' avant de reprendre calmement mon chemin en contournant le plus possible le troupeau. De préférence, ne pas emmener son chien et, sinon, bien le tenir en laisse. Pour mémoire, consulter les bons réflexes à adopter face aux chiens de protection et regarder la vidéo sur les chiens des moutons sur le Parc naturel régional du Luberon.
- RISQUE INCENDIE : Le feu est l’ennemi de la forêt… et du randonneur ! Je ne fume pas en forêt et n'y allume pas de feu, d'autant que quelle que soit la saison, c'est interdit ! Et en période estivale, avant de partir en balade, je me renseigne sur les conditions et réglementations d’accès aux massifs forestiers.
Lieux de renseignement
Maison du Parc naturel régional du Luberon
60, place Jean Jaurès, 84400 Apt
Au cœur du centre ancien d’Apt, la Maison du Parc du Luberon vous accueille dans un hôtel particulier du XVIIIème siècle.
Informations touristiques et vente de livres, cartes, topoguides.
Musée de géologie, visite gratuite.
Ouvert du lundi au vendredi de 9h à 12h et de 13h30 à 17h30.
OTI Pays d’Apt Luberon
788 avenue Victor Hugo, 84400 Apt
Bureau d'Apt
788 Avenue Victor Hugo 84400 Apt
T. +33 (0)4 90 74 03 18
Ouvert toute l'année
Ouvert du lundi samedi de 9h30 à 12h30 et de 14h à 18h.
Fermé dimanche et jours fériés (hors juillet et août)
Du 1er octobre au 31 mars : Fermé le mercredi, dimanche et jours fériés.
Bureau de Bonnieux
1 Rue Victor Hugo 84480 Bonnieux
T. + 33 (0)4 90 75 91 90
Ouvert du lundi au samedi de 9h30 à 12h30 et de 14h à 18h jusqu'au 30 septembre.
Fermé dimanche et jours fériés.
Bureau de Céreste
Boulevard Victor Hugo 04280 Céreste
T. +33 (0)4 92 79 09 84
Ouvert du 17 avril au 30 septembre du lundi au vendredi de 9h30 à 12h30 et de 14h à 18h.
Fermé samedi, dimanche et jours fériés.
Bureau de Lacoste
La Cure - 36, place de l'Eglise 84480 Lacoste
T. +33 (0)4 90 06 11 36
Ouvert toute l'année
Du lundi au vendredi de 9h à 11h30 et de 13h30 à 17h.
Le samedi de 9h à 11h30.
Fermé dimanche et jours fériés.
Bureau de Ménerbes
Avenue Marcellin Poncet 84560 Ménerbes
T. +33 (0)4 90 72 21 80
Ouvert toute l'année
Ouvert uniquement le matin de 9h à 12h du mardi au samedi jusqu'au 30 avril.
À partir du 2 mai du mardi au vendredi de 9h à 12h et de 13h30 à 17h.
Le samedi de 9h à 12h.
Fermé dimanche, lundi et jours fériés.
Bureau de Roussillon
19 Place de la Poste 84220 Roussillon
T. +33 (0)4 90 05 60 25
Ouvert toute l'année
Du lundi au samedi de 9h30 à 12h30 et de 14h à 18h.
Fermé dimanche et jours fériés (Hors juillet et août)
Bureau de Saint-Saturnin-lès-Apt
Avenue Jean Geoffroy 84490 Saint-Saturnin-lès-Apt
T. +33 (0)4 90 05 85 10
Ouvert du 13 juin au 15 septembre du mardi au vendredi de 9h30 à 12h30 et de 14h à 18h.
Fermé samedi, dimanche, lundi et jours fériés.
Accès routiers et parkings
À 8 km de Bonnieux par la D36 et à 15 km de Lourmarin par la D945, D36 et route des crêtes de la forêt des Cèdres du Petit Luberon.
Stationnement :
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