LOURMARIN - Combe des Cavaliers et Pelat de Buoux
Lourmarin

LOURMARIN - Combe des Cavaliers et Pelat de Buoux

Faune
Patrimoine et histoire
Point de vue
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Sauvage, nuancé, panoramique et patrimonial à souhait...

« Le départ entre mas, vignes et oliviers, laisse rapidement place à un sentier tortueux en fond de ravin. Puis l'âpre montée de la Combe des Cavaliers débouche enfin sur les crêtes du Grand Luberon. Là, la vue est grandiose ! Une bascule sévère en face nord précède la remontée en sous-bois jusqu'au Pelat de Buoux. Deuxième coup de foudre pour ce panoramique ! Ensuite, sur les crêtes, vient le temps d'apprécier tranquillement toute la richesse de ce massif préservé. En guise de dessert, le discret village de Vaugines, puis la douceur des terrasses de Lourmarin... ». Romain Laussac, guide nature à l’OTI Destination Luberon.


Les 20 patrimoines à découvrir

  • Produits du terroir

    Culture durable, vins d'exceptions

    Rouges, blancs ou rosés, les vignerons du Luberon disposent d’une grande variété de cépages pour composer leurs vins ; syrah, grenache, mourvèdre, carignan, cinsault… Une des caractéristiques de l’AOC du Luberon est la présence également de Vermentino, un cépage très aromatique, présent également en Corse et en Italie. Sur les côteaux montagneux du sud Luberon, entre 200 et 500 m d’altitude, l’adéquation entre le sol, le cépage et le climat va avoir une influence particulière sur les raisins, et donc sur les vins. 

  • Patrimoine et histoire

    Le chemin de sel

    Au XVIIe s., l'un des greniers à sel de Provence se trouvait à Berre. La combe des Cavaliers était certainement un des itinéraires autrefois empruntés par les marchands de sel avec leurs caravanes de mulets, depuis l’étang de Berre jusqu’à Apt. Un chemin bien plus pénible à gravir que la combe de Lourmarin, mais moins exposé aux voleurs et brigands de sel, denrée prisée à l’époque car élément nutritif indispensable pour le bétail et seul moyen de conserver les aliments.

  • Faune

    Avifaune rupestre

    Ici, les faciès des rochers et le canyon étroit offrent un gîte favorable aux hirondelles de rochers, au faucon crécerelle et à une petite colonie de choucas des tours. Les coteaux arides où poussent des espèces arbustives et plantes méditerranéennes propices aux insectes, sont une ressource alimentaire idéale pour ces oiseaux. L’hiver, on peut apercevoir le Tichodrome échelette. De la taille d’un merle, c’est un oiseau assez rond, gris aux ailes rouges qui flashent lorsqu’il vole. Il vit exclusivement à la verticale, au sein des grandes parois rocheuses. Sa haute montagne natale étant prise par la neige et la glace, il passe l’hiver dans nos parois de basse altitude au climat plus clément. Il regagne les cimes des Alpes au printemps, pour y nicher, toujours à plus de 2000 m d’altitude.

  • Faune

    Bubo bubo, seigneur de la nuit

    Sur les escarpements rocheux comme ceux de la combe des Cavaliers, habite le Grand-duc d'Europe (Bubo bubo), le plus grand des rapaces nocturnes (taille de 75 cm et une envergure de 160 à 188 cm). Parfois appelé aussi « Seigneur de la nuit », c’est un redoutable prédateur, similaire à l’aigle royal mais pour le monde de la nuit. Il se nourrit de tout ce qui bouge, depuis les scarabées jusqu'aux faons des cervidés, ou même d'oiseaux de toutes sortes, de serpents, lézards, batraciens, poissons. Son régime alimentaire varié lui a permis de ne pas trop souffrir de la disparition du lapin de garenne, proie autrefois favorite.

  • Point de vue

    Collet du Vallon de Serre

    Autrement dénommé également Collet de la Tête de La Roche, ce promontoire sur les crêtes du Grand Luberon est un marqueur paysager et climatique entre la face sud et la face nord du massif. L'adret (versant sud) s'ouvre en combe de chênes verts, pins d'Alep, pistachier térébinthe, garance, fragon, puis la garrigue avec genévrier, thym, romarin... L'ubac (versant nord), plus frais et humide, arbore chênaie pubescente, alisier blanc, buis, amélanchier, érable champêtre, puis des lambeaux de hêtraie associés au houx, frêne, fusain à grande feuilles, lys martagon...

  • Faune

    Circaète Jean-le-Blanc

    Le Circaète Jean-le-Blanc (Circaetus gallicus) est un rapace de grande taille, particulièrement discret en période de nidification. Il rejoint nos contrées début mars et repart en août pour passer l’hiver dans les savanes africaines au Sud du Sahara. Il présente la particularité de se nourrir presque exclusivement de reptiles. Il installe son nid sur un arbre dans une zone de grande tranquillité, généralement au cœur d’un massif boisé où il s’efforce de passer inaperçu. En vol, il est aisément reconnaissable pour qui sait être attentif : 1,80 m d’envergure, blanc moucheté sous les ailes et sur le ventre, poitrine brune. Excellent planeur, il se déplace principalement sans battre des ailes, profitant de la brise et des ascendances thermiques, les ailes largement étendues. Pour la chasse, il pratique couramment le « vol en Saint-Esprit » : il fait du sur place en battant des ailes face au vent, scrutant le sol à la recherche d’une proie.

  • Géologie

    Dans la mer de l’Hauterivien

    Il y environ 130 millions d’années, au Crétacé inférieur, le climat est chaud, la mer couvre la Provence. Au fond de l’eau se déposent des sédiments calcaires et argileux qui forment aujourd’hui les crêtes du Grand Luberon et son versant nord. Quelques témoins de cet environnement apparaissent au hasard des affleurements comme ces oursins fossiles en forme de cœur appelés Toxaster (protégés, ne pas prélever !).

  • Faune

    Vautour percnoptère, équarisseur naturel protégé

    Le Vautour percnoptère (Neophron percnopterus) est un rapace mais le plus petit des vautours européens. Son envergure se situe entre 1.60 et 1.80 m, pour un poids allant de 1,5 à 2,5 kg. À la différence des autres vautours, il ne se nourrit pas que de cadavres de mammifères. Il consomme également divers types de déchets organiques, et même de petites proies (petits reptiles, petits oiseaux, gros insectes, poissons). C’est pourquoi son bec n’est pas très fort, mais plutôt long et fin. Ce grand migrateur qui passe l’hiver en Afrique, est malheureusement mondialement menacé d'extinction, par la régression des troupeaux et l’appauvrissement de ses ressources alimentaires. Le Parc du Luberon œuvre depuis sa création à préserver et à restaurer les effectifs de ce vieux compagnon de route des bergers. Mais malgré le dispositif d'approvisionnement de placettes d’alimentation, on ne compte désormais plus que 4 à 5 couples en Luberon.

  • Faune

    Une vie de percnoptère

    Le Vautour percnoptère (Neophron percnopterus), rapace, utile, étrange et inoffensif, vit de 20 à 40 ans. Le maintien de ses effectifs dépend fortement de la survie des adultes, et de leur capacité à produire des jeunes chaque année au cours de leur vie. Il fait son nid dans des cavités des parois rocheuses. Cela le met à l’abri des prédateurs et lui assure la tranquillité. L’accouplement a lieu fin mars-début avril, puis la ponte fin avril-début mai (1 à 2 œufs). La couvaison dure une quarantaine de jours, les deux adultes se relayant. Un poussin prendra son envol entre 2,5 et 3,5 mois après l’éclosion. En déclin sur l’ensemble de son aire de répartition mondiale, le Vautour percnoptère appelé aussi « Percnoptère d’Égypte » ou « Lou Peyre Blanc » en provençal, est cependant parvenu à traverser le temps jusqu’à notre époque. Il est encore aujourd’hui emblématique du Luberon et de la biodiversité liée au pastoralisme.

  • Point de vue

    Pelat de Buoux

    Reconnaissable de loin par son aspect pelé, cette bosse sommitale sur les crêtes du Grand Luberon révèle un panorama majestueux sur le massif des Alpilles et le Petit Luberon à l'ouest (Mourre de Caïras 726 m), le Mont-Ventoux au nord (1911 m), la Montagne de Lure (1826 m) et la chaîne des Alpes au nord-est, puis le Grand Luberon à l'est (Mourre Nègre 1125 m), la montagne Sainte-Victoire (1011 m), la plaine de La Durance et l’Etang de Berre avec la mer Méditerranée en arrière-plan au sud.

  • Produits du terroir

    Vive l'olive verte !

    Sur le versant Sud du Luberon, c’est la variété Aglandau qui est la plus présente. Elle arbore une couleur d’un vert franc tacheté de blanc. Plutôt arrondie, cette olive a la forme d’un gland ce qui lui a donné son nom. C'est la plus répandue en Provence depuis l’Antiquité en raison notamment d’un rendement élevé. La saveur de son huile est puissante et ardente. La récolte des olives à l'automne est profondément ancrée dans les traditions méridionales, à tel point qu’on lui donne un nom en Provence ; l’olivade !

  • Flore

    La Mouche de l’olive

    Cette petite mouche à l’abdomen orangé peut détruire une grande partie des récoltes d’olives. La femelle pond sous la peau du fruit un œuf unique. Après éclosion, le ver creuse une galerie dans la pulpe de l’olive, qui devient noire et tombe. La Mouche de l’olive vit de 2 à 6 mois, et jusqu’à cinq générations peuvent se succéder au cours de l’été, de juin à novembre. Elle pond davantage quand il fait chaud, mais s’accommode mal des températures supérieures à 35°C et inférieures à 10°C. Les bouteilles pendues dans les arbres sont des pièges à mouches.

  • Faune

    Traitements écologiques de la Mouche

    Deux méthodes naturelles respectueuses de l’environnement sont alternatives à l’usage d’insecticide : la barrière minérale consiste à pulvériser uniformément du kaolin (argile blanche) sur toute la surface de l’arbre, en englobant le haut des frondaisons, afin de camoufler toutes les olives. La mouche, perdue, ne peut plus venir pondre. Par le système de pièges, surtout efficace au printemps, on pend des bouteilles en plastique qu’on a remplies d’un liquide ammoniaqué dans lequel les mouches viennent se noyer.

  • Patrimoine et histoire

    Vaugines, charme et authenticité

    Tranquille village, allongé sur les premiers contreforts du Luberon, Vaugines ou Vaougino en provençal, a su garder son charme authentique. Les ruelles pittoresques, les escaliers voûtés, les placettes et les belles demeures participent au charme provençal de Vaugines. La plus ancienne mention du village de Vaugines date de 1920, mais son territoire fut occupé dès l'antiquité. Au XVIe puis XVIIIe s. l'agglomération regroupée autour de son château, aujourd'hui disparu, prend un nouvel essor et s'étend à l'ouest sous la falaise de poucelles.

  • Patrimoine et histoire

    Sur la trace des Vaudois

    Née à Lyon au XIIe s., les vaudois constituent une minorité religieuse. Traitée comme hérétique par l’église catholique, ils sont pourchassés et se dispersent dans toute l’Europe. Leur foi est alors vécue dans la clandestinité et sous la menace de poursuites. Une partie d’entre eux vinrent s’établir au XVe s. dans le Luberon, à l’appel des seigneurs, pour repeupler et revaloriser des terres tombées en friche. D’ici, s’aperçoit la Capitainerie où le Capitaine Bouchard s’illustra pendant les guerres de religion et lors de l’expédition contre les Vaudois en 1545.

  • Eaux et rivières

    L’or bleu

    Ici, l’eau a toujours été une ressource rare. Pays plus sec que ses voisins, il fût nécessaire de redoubler d’efforts pour répondre aux besoins des femmes et des hommes, des bêtes et des cultures. Ainsi, puits, lavoirs, bassins ou encore fontaines jalonnent votre balade. Ils s’imposent comme témoin du génie paysan pour faire jaillir cette eau si précieuse.

  • Patrimoine et histoire

    Le pastoralisme en Luberon

    L’histoire du pastoralisme dans le Luberon remonte à l’antiquité et a toujours eu une grande importance sur le paysage. Sur les crêtes comme sur les coteaux, les troupeaux de moutons limitent la fermeture des milieux ouverts et favorisent ainsi la biodiversité et la défense des forêts contre les incendies. Sans pâturage, on observerait moins d’insectes, d’oiseaux et de fleurs de printemps. Une conduite pastorale raisonnée est mise en place sur le territoire pour pérenniser la ressource herbacée. Et les éleveurs sont soutenus pour lutter contre la pression de prédation par le loup gris, de retour sur tous les massifs du Luberon.

  • Eaux et rivières

    Les Trichoptères et leurs étuis

    Sur cette section du ravin de la Grande Gravière, quand elle est bien en eau, une drôle de chose bouge en surface. Une sorte d’étui d’un centimètre environ d’où sort une tête. Il s’agit de larves de Tri-choptères, petits papillons de nuit à l’âge adulte, qui dans leur stade aquatique se logent dans des fourreaux mobiles qu'elles traînent avec elles en se déplaçant. Ces étuis, ouverts aux deux extré-mités, sont tissés en soie et recouverts de brindilles de végétaux agglutinées ou d’agglomérats de petits minéraux de sable ou de gravier. Les Trichoptères sont d’excellents indicateurs de la qualité de l’eau. 

  • Patrimoine et histoire

    Lourmarin, village vaudois

    Suite aux nombreuses crises que connaît la région (guerres, pestes, famines…) à la fin du Moyen-Âge, le village est alors quasiment déserté. Afin d’assurer son repeuplement, le Seigneur fait venir des colons vaudois (communauté issue de la Réforme) des Alpes. Le territoire connaît alors une véritable Renaissance bientôt freinée par les persécutions des guerres de religion du XVIe et jusqu’à la fin du XVIIe s.

  • Flore

    Alerte orange sur les Platanes

    Ici trônent fièrement de majestueux platanes, offrant une atmosphère singulière et une ombre tant recherchée en été. Malheureusement, un champignon, le Chancre coloré (Ceratocystis platani) s’attaque au platane à la faveur d’une blessure, empêchant la cicatrisation des tissus et entrainant le dépérissement de la branche, puis de l’arbre en entier en trois à cinq ans. Pour autant, ce n’est pas le Chancre coloré qui est directement responsable de la mort de l’arbre, mais d’autres champignons qui se nourrissent de lignine (un des composant du bois) et qui pénètrent par la brèche. Le fait que ces arbres soient plantés en alignement favorise également la transmission par les racines qui s’entremêlent en souterrain. Par arrêté ministériel du 22 décembre 2015, tout Platane touché doit être détruit et incinéré, ainsi que sa souche et ses racines, et ceux qui l’entourent dans un rayon de 35 mètres.


Description

Du parking, gagner à proximité le bord de la route départementale D943. Virer à droite et emprunter le trottoir de droite sur 200 m (GRP®).  Au premier carrefour routier, traverser la D943 (passage piétons, prudence !) et au poteau ’’L'Estagniol’’, filer en face sur le chemin revêtu d’Aguye (GRP®).
1- Au carrefour « La Furge », laisser partir le GRP® à droite et continuer tout droit sur le Chemin de La Combe des Cavaliers (PR). Au carrefour ‘’Les Ramades nord’’, poursuivre tout droit (PR). Franchir un peu plus haut un gros virage puis, juste avant le Domaine de La Cavalière (point 280 sur la carte), prendre à droite le sentier (PR), longer la clôture en bois, puis s’orienter de nouveau à gauche en bord de près. S’engouffrer ensuite dans le sous-bois (PR), traverser le petit torrent puis à la patte d’oie 50m plus haut, poursuivre à gauche. Poursuive toujours tout droit entre les propriétés voisines jusqu’à atteindre le pied de la combe.
2- Au carrefour ‘’La Combe d’Apt’’, continuer de grimper le sentier (PR), franchir une section plus raide et rocailleuse, puis poursuivre ainsi le fond de La Combe des Cavaliers sur environ 2 km.
3- À hauteur du second virage à gauche bien marqué (cairn), quitter le chemin et gravir le raide sentier à droite (PR). 150 m plus haut, traverser la piste DFCI et grimper encore le sentier pentu. Déboucher sur un chemin plus large, le remonter à droite (passer devant une stèle commémorative) puis atteindre les crêtes. Au carrefour ‘’Combe des Cavaliers’’, virer à droite, atteindre le sommet d’une bosse et descendre ensuite jusqu’à la piste DFCI. L’emprunter tout droit sur 50 m et bifurquer à gauche sur une petit sentier (cairn). S’engouffrer dans la végétation puis descendre vers la droite un sentier plus marqué (PR). Franchir en contre-bas une section d’éboulis assez raide (bâtons recommandés !) et déboucher sur un chemin.
4- Au carrefour ’’Vallon de serre’’, tourner à droite en direction de L’Ourillon (GR-GRP®). Grimper, franchir deux gros virages puis continuer sur un long travers. Au carrefour ‘’L’Ourillon’’, virer à droite et grimper jusqu’au sommet dénudé de la butte, à droite. Sur les crêtes (gros cairn), au carrefour ‘’Pelat de Buoux’’, redescendre à gauche en direction de ‘’Lou pas des ensarris’’. Rejoindre la piste DFCI en contre-bas et l’emprunter en face sur un peu plus de 1 km (GR-GRP®).
5- Au carrefour ‘’Lou pas des ensarris’’ (citerne), prendre la piste qui descend à droite direction Vaugines (GR-GRP®). Franchir un gros virage à droite et dévaler plein sud le long vallon de Vaunière. Au pied du massif, emprunter la route goudronnée puis continuer d’avancer jusqu’aux premières habitations de Vaugines. Plus bas, au niveau d’une patte d’oie (avec un olivier au milieu du carrefour), continuer à gauche sur la route.
6- Au carrefour ‘’Vaugines’’ (oratoire), s’avancer tout droit sur 60 m puis poursuivre à gauche la rue des Grottes (GR-GRP®). Déboucher sur la place de la Mairie, dépasser la fontaine centrale, puis descendre la rue de la mairie et 20 m après, emprunter à gauche la rue des Amazones (GR-GRP®). Au bout de cette rue, prendre la ruelle qui monte à gauche et 10m après, bifurquer à droite sur la rue Haute. Au carrefour ‘’Vallis Jovina’’, virer à droite, descendre l’av. de l’Eglise jusqu’à la route départementale (D56) et l’emprunter à droite sur 40 m (prudence !).
7- Au carrefour ‘’Chemin de Lautin », descendre le chemin revêtu de Lautin et 200 m plus bas, à hauteur du lavoir, bifurquer à droite et emprunter le Chemin du Jas (ex. GR®). Au carrefour suivant, filer tout droit sur le Chemin de la Maguelone (ex. GR®). 500 m plus loin, déboucher de nouveau sur la D56.
8- Au cédez le passage, virer à gauche, emprunter la D56 sur 40 m (prudence !) et après le pont, prendre le chemin revêtu de Faraud (deuxième route à droite - GRP®). S’avancer sur 1 km, jusqu’à la fin du goudron. Poursuivre tout droit la piste (GRP®), franchir deux virages, poursuivre le chemin le long d’une truffière puis s’engouffrer sur le sentier en sous-bois (GRP®). Suivre le sentier en bord de talweg. Déboucher du Ravin de La Grande Gravière sur une piste, virer à droite puis de suite à gauche. Contourner le Domaine de Gibas, puis au goudron, filer à gauche sur le chemin revêtu du Gibas et descendre tranquillement sur 1,6 km.
1- Au carrefour ‘’La Furge’’, reprendre en sens inverse l’itinéraire emprunté à l’aller, direction Lourmarin. Au carrefour ‘’L’Estagniol’’, traverser la D943 (passage piétons, prudence !), avancer tout droit 50 m puis obliquer à droite sur la place Henry Barthélémy (office de tourisme). Descendre les escaliers puis virer à droite bv. du Rayol afin de rejoindre à droite le parking de départ.

  • Départ : Parking de Pierrouret, Lourmarin
  • Arrivée : Parking de Pierrouret, Lourmarin
  • Communes traversées : Lourmarin, Buoux, Sivergues et Vaugines

Météo


Profil altimétrique


Recommandations

  • Au départ, aux points 7 et 8, puis en toute fin de parcours : traversée de route à forte circulation : prudence !
  • En chemin, à proximité des habitations, je respecte les propriétés privées, je suis toujours courtois avec les autres usagers et les propriétaires des lieux.
  • ATTENTION ZONE PASTORALE sur les crêtes et en pied de massif : en présence de chiens de protection venus à ma rencontre, je ne les caresse pas ni ne les menace. Je m'arrête, puis j'attends patiemment la fin du ''contrôle'' avant de reprendre calmement mon chemin en contournant le plus possible le troupeau. De préférence, ne pas emmener son chien et, sinon, bien le tenir en laisse.
  • RISQUE INCENDIE. Le feu est l’ennemi de la forêt… et du randonneur ! Je ne fume pas en forêt et n'y allume pas de feu, d'autant que quelle que soit la saison, c'est interdit ! Et en période estivale, avant de partir en balade, je me renseigne sur les conditions et réglementations d’accès aux massifs forestiers.

Lieux de renseignement

Maison du Parc naturel régional du Luberon

60, place Jean Jaurès, 84400 Apt

https://www.parcduluberon.fr/accueil@parcduluberon.fr+33 (0)4 90 04 42 00

Au cœur du centre ancien d’Apt, la Maison du Parc du Luberon vous accueille dans un hôtel particulier du XVIIIème siècle.
Informations touristiques et vente de livres, cartes, topoguides.
Musée de géologie, visite gratuite.

Ouvert du lundi au vendredi de 9h à 12h et de 13h30 à 17h30.

En savoir plus

OTI Destination Luberon

Place François Tourel, 84300 Cavaillon

https://www.destinationluberon.com/contact@destinationluberon.com+33 (0)4 90 71 32 01
Au cœur de nos villages, les bureaux d'accueil de Destination Luberon sont ouverts toute l’année pour répondre à toutes vos questions.

Horaires d’ouverture :

CAVAILLON
Du 1er avril au 30 septembre : du lundi au samedi et jours fériés : 9h -12h30 / 14h30-18h. 
Du 1er octobre au 31 mars : du lundi au vendredi et jours fériés : 9h-12h30 / 14h-17h30.  Samedi : 9h-12h30.
Fermé le dimanche.
Fermetures exceptionnelles le 1er janvier et le 25 décembre.

GORDES
Du 1er avril au 30 septembre : du lundi au dimanche et jours fériés : 9h-12h30 / 14h30-18h.
Du 1er octobre au 31 mars : du mardi au samedi et jours fériés : 9h-12h30 / 14h-17h30.
Fermé le lundi et dimanche.
Fermetures exceptionnelles le 1er janvier et le 25 décembre.

LOURMARIN
Du 1er avril au 30 septembre : du lundi au dimanche et jours fériés : 9h-12h30 / 14h30-18h.
Du 1er octobre au 31 mars : du mardi au samedi et jours fériés : 9h-12h30 / 14h-17h30
Fermé le lundi et dimanche.
Fermetures exceptionnelles le 1er janvier et le 25 décembre.
En savoir plus

OTI Luberon Sud Tourisme

Le Château - BP 16, 84240 La Tour d'Aigues

https://www.luberon-sud-tourisme.fr/contact@luberon-sud-tourisme.fr+33 (0)4 90 07 50 29
Accessibilité :
Idéalement situé dans le Château de La Tour d’Aigues (le siège social), classé Monument Historique, sur la place du village, et à Cucuron, l’OT Luberon Sud Tourisme vous accueille, vous informe et vous conseille toute l’année lors de votre séjour en Luberon. Nous sommes également disponibles avant votre séjour pour vous aider à planifier le circuit de vos vacances : hébergements, incontournables, visites, activités, nous sommes là pour vous guider !

Horaires d’ouverture :

AVRIL / MAI / JUIN ET SEPTEMBRE
Du mardi au samedi : de 9h30 à 12h30 et de 13h30 à 17h30.

EN JUILLET ET AOÛT
Lundi : 15h – 18h.
Du mardi au samedi : 9h30 à 13h et de 15h à 18h.
Dimanche : de 9h45 à 12h45 (du 09/07 au 20/08).

JOURS FÉRIÉS
18 mai (Ascension) : de 9h30 à 12h30.
14 juillet : de 9h30 à 13h et de 15h à 18h.
15 août : de 9h30 à 13h et de 15h à 18h.

Accès routiers et parkings

À 17 km de Pertuis par les D973 et D943.

Stationnement :

Parking de Pierrouret, à l'entrée nord du village de Lourmarin (D943).

Source

OTI Destination Luberonhttps://www.destinationluberon.com

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