BUOUX - Vallon de l'Aiguebrun
Buoux

BUOUX - Vallon de l'Aiguebrun

Eaux et rivières
Flore
Géologie
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La trilogie magique ! Aiguebrun, plateau des Claparèdes et villages pittoresques. L'âme du Luberon...

« Par mon travail et ma passion pour l’escalade, le VTT et la rando, rares sont les recoins du vallon qui m’ont échappé ! Et pourtant il m’arrive encore d’en découvrir une inédite facette. J’aime le côté sauvage des lieux, les beaux volumes arrondis du cailloux, le balais des choucas, la lumière tranchée sur le couvert végétal, mais aussi la délicate présence de l’homme à tous les étages de ce paradis ! ». Eric Garnier, chargé d’études sports nature au PNR Luberon.


Les 25 patrimoines à découvrir

  • Patrimoine et histoire

    Le charme de Buoux

    C’est au XVIIe s. que furent édifiés le vieux village, la petite église provençale et les bastides alentours. La petite église provençale possède un autel tabulaire d’époque pré-romane, le bâtiment actuel fut sans doute construit dès 1704 sur l’emplacement d’une petite chapelle. Dans la mairie, un four datant de l’implantation du village est visible, il est souvent réparé et entretenu par la commune.

  • Faune

    Des arbres gîtes

    Avec leur bec droit, les pics décortiquent l’écorce des arbres pour s’y nicher ou débusquer des insectes mangeurs de bois (xylophages). Dans le Luberon, le Pic épeiche (noir, blanc et ponctué de rouge) côtoie le Pic épeichette (plus petit, moins de rouge), le Pic vert et le Pic noir (plus rare, comme une Corneille à calotte rouge). Véritables HLM à insectes et chauves-souris, ces arbres âgés accueillent une multitude d'habitants dans les trous de pics, les fentes des branches, sous le lierre...

  • Patrimoine et histoire

    Le fort de Buoux

    En face sur son éperon rocheux, le fort de Buoux a très longtemps été la clef de voûte du système défensif de toute la communication à travers le Luberon. Occupé dès la Préhistoire, il fut fortifié au Moyen-Age. Jamais pris d’assaut, il abrita une garnison et des populations civiles jusqu’à son démantèlement sur ordre de Louis XIV vers 1660, afin d’éviter qu’il tombe définitivement aux mains des protestants pendant les guerres de religion.

  • Point de vue

    Ça grimpe sur les falaises de Buoux !

    À droite, juste sous vos pieds, les immenses murs multicolores et les gros surplombs gris, naturellement criblés de trous de toutes tailles, ont fait de Buoux un spot mondial d’escalade. Dans les années 1980-90, ces falaises ont été le laboratoire du haut niveau international, où de nombreux grimpeurs se sont illustrés ; Patrick Edlinger, Antoine et Marc Le Menestrel, Catherine Destivelle, Lynn Hill, etc…

  • Géologie

    Gorges à l'histoire ancienne

    Le vallon de l'Aiguebrun se caractérise par de hautes falaises avec des escarpements de calcaire et des chaos de rochers éboulés. Il s’est creusé il y a environ 6 millions d’années suite à l'assèchement de la mer Méditerranée !  Le niveau d’eau va s’abaisser de l'ordre de 1 000 m et les fleuves qui l’entourent vont creuser d’immenses canyons qui seront ensuite comblés par des dépôts de sédiments. Sous l’action de l’érosion lors des périodes glaciaires, les falaises se feront plus abruptes.

  • Faune

    Des rapaces rares protégés

    Avec un peu d'attention vous pourrez repérer la présence des rapaces protégés, remarquables par leur envergure et leurs cris. Le Circaète Jean-le-Blanc, migrateur, niche dès le printemps sur des vieux pins dans le massif forestier. Le Grand-Duc d'Europe, lui, s'abrite dans les falaises tout au long de l'année, on peut l'entendre la nuit. Leur tranquilité est préservée sur les zones sensibles : organisation de l'escalade, programmation des coupes de bois en dehors des périodes de reproduction...

  • Géologie

    Molasse ou mollasse ?

    Les falaises spectaculaires de l'Aiguebrun sont formées d'un calcaire gréseux (qui contient des grains de sable) biodétritiques (qui contient aussi beaucoup de débris de fossiles variés). Localement, on l'appelle molasse ou mollasse selon deux origines étymologiques possible : mola = la meule, car cette roche abrasive était utilisée pour produire des meules. Ou bien mollis = mou, car la roche se taille et se découpe facilement. C'est la pierre noble des carriers de Provence.

  • Géologie

    Traces de courants marins !

    Les falaises environnantes présentent souvent des stries. On parle de "stratifications obliques". Celles-ci témoigent de l'origine marine de ces roches déposées dans la mer il y a 20 millions d'années et surtout de l'existence de courants sous-marins créant un paysage de dunes sous-marines, de talus et de de cheneaux au fond des eaux.

  • Patrimoine et histoire

    Pont des Seguins

    Plusieurs ponts enjambent l’Aiguebrun ou ses affluents. Depuis Les Près Blancs jusqu’à Seguin, on peut en conter cinq, dont le pont des Seguins, proche de l’auberge du même nom. Celui-ci date de 1923. Il était emprunté par les personnes qui souhaitaient accéder au hameau. Il est constitué d’une grande arche principale qui l’élance sur 7 mètres de long. Un petit percement cintré situé dans la culée sud permettait le passage d’un canal.

  • Eaux et rivières

    L'Aiguebrun

    En région méditerranéenne, rares sont les cours d’eau plus ou moins permanents bordés de forêt luxuriante. L’Aiguebrun est de ceux-là, et son vallon constitue, au plan écologique, l’un des sites majeurs du territoire du Parc. Parmi les poissons, on trouve la truite fario, et le barbeau méridional, mais aussi l’écrevisse à pattes blanches, discrète et rare. La présence de ces trois espèces souligne la bonne santé de cet écosystème aquatique, mais surtout la nécessité de le préserver.

  • Faune

    Je me cache dans les falaises...

    Les chauves-souris, également dénommées chiroptères, sont de petits mammifères. Détestées à tort, ce sont des êtres encore mystérieux qui peuvent vivre jusqu’à 30 ans et ont su développer un fabuleux système d’écholocalisation pour se diriger la nuit. Cette sorte de radar à ultra-sons ricochant sur les obstacles et les proies leur permet également de localiser et capturer leurs proies, essentiellement des insectes. Un individu peut ingurgiter 30 % de son poids en une seule soirée !

  • Flore

    Méditerranée, où es-tu ?

    Mince et long cordon arboré soumis aux vicissitudes de la rivière, la ripisylve de l'Aiguebrun est peuplée d'essences diverses comme le Frêne élevé, le Frêne à feuilles étroites, l'Aulne glutineux, divers peupliers et saules... Elle accueille également des espèces végétales rares en région méditerranéenne, trouvant refuge dans cette ambiance fraîche et humide. L'Aiguebrun est comme un échantillon d'Europe du Nord qui se serait échoué en pleine Provence !

  • Flore

    Forêt de ravin

    Entre "ripisylve" (forêt en bord de cours d'eau) et barres rocheuses, le sentier traverse une belle forêt installée sur un versant très raide et rocailleux. Si, de prime abord, cette forêt vous semble "classique", il n'en est rien ! Il s'agit en effet d'une forêt dite "de ravin", toujours très rare et localisée en Provence. Ici, point de chênes (ou si peu !), vous êtes dans le royaume des érables, tilleuls, noisetiers et d'une flore spécialiste des sols rocailleux instables.

  • Point de vue

    Sivergues, village du bout du monde

    Ici plus qu’ailleurs, un sentiment de calme, d’isolement, et d’harmonie se dégage. Au cours des siècles, le village connut peu d’évolutions, seules quelques habitations furent édifiées autour de l’ancienne maison fortifiée, nommée aujourd’hui le fort de l’archidiacre. Le visiteur attentif remarquera l’oculus (fenêtre ronde ou œil de bœuf) sur la façade modeste de l’Église Saint-Pierre-et-Sainte-Marie (fin XVIe s.), les ruelles en calade, l’escalier sur voûte, le portail de pierre… Chaque ensemble bâti de Sivergues épouse parfaitement le relief et s’ouvre sur des vues magistrales.

  • Flore

    Chacun son exotisme

    Pour peu que vous parveniez à le remonter sur quelques mètres, ce ruisselet offre l'occasion d'observer la Circée de Paris (Circaea lutetiana), plante discrète aux petites fleurs blanches et curieux fruits visqueux en massue, ainsi que la fougère Scolopendre (Aplenium scolopendrium), qui se déploie telle une langue sur les rochers ombragés. Communes dans les régions bien arrosées, ces deux espèces sont bien plus rares sous le soleil de Provence... (Protégées en PACA = cueillette interdite !)

  • Patrimoine et histoire

    Sivergues, entre quiétude et massacre

    L’origine du hameau (IVe/Ve s.) peut être attribuée à une Arlésienne, épouse de Saint Castor évêque d’Apt, qui aurait fondée un couvent avec six compagnes, six vierges, d’où le nom de Sivergues. Mais le village sous sa forme actuelle nait après les grandes épidémies à l´aube du XVIe s., grâce à l´attribution d´actes d´habitation à huit familles vaudoises afin de cultiver les terres abandonnées. En 1540, sur ordre de François Ier, la répression sanglante s’abattit sur la région et ces mêmes familles furent persécutées par Jean Maynier, baron d’Oppède et premier président du Parlement d’Aix.

  • Faune

    Suis-moi, je te suis !

    On entend souvent qu’un mouton sautant d’une falaise emporte tout son troupeau avec lui, d’où l’expression « suivre comme un mouton ». Les moutons sont-ils bêtes ? Des chercheurs ont étudié le phénomène, et cet effet de groupe est plus réfléchi qu’on ne le pense. Les moutons, partagés entre leur désir de trouver de la nourriture et d’être protégés des prédateurs, se regroupent pour explorer plus efficacement des espaces vierges et faire circuler l’information plus rapidement en cas de danger.

  • Patrimoine et histoire

    L'art de la calade

    Le patrimoine viaire, montre encore les restes d’aménagements nécessaires à l’activité humaine importante dans le vallon, durant des siècles passés, dont les portions de cheminement caladés sont les témoins. Les vestiges de calades, revêtement de sol constitué de pierres posées sur chants, sont visibles près des passages dans le cours d’eau ou en remontant vers le plateau des Claparèdes et Sivergues.

  • Flore

    Les prairies, un patrimoine naturel rare

    Ces prairies disséminées en fond de vallon sont l'héritage du travail de la nature et de l'homme. L'eau bien présente ici profite à une grande variété de plantes et d'insectes (papillons, libellules...). Et avec un peu de chance, on peut débusquer un seps, sorte d'orvet doté de pattes... Le pâturage a façonné ces clairières à une époque où les petits troupeaux y accédaient facilement. Des débroussaillements ciblés doivent permettre de les restaurer tout en préservant la ripisylve environnante.

  • Flore

    L'Orchis odorant

    Cette petite traversée d'un coteau marneux un peu humide peut être l'occasion, aux mois de mai et juin, de découvrir une petite orchidée à odeur de vanille : le bien nommé Orchis odorant (Anacamptis coriophora subsp. fragrans). Assez rare en France où on ne le trouve que dans la moitié sud, il y est strictement protégé. N'emportons donc son parfum que dans nos souvenirs !

  • Patrimoine et histoire

    « Lou camin salié »

    « Lou camin salié » ou chemin du sel étaient les routes empruntées autrefois par les marchands de sel avec leurs caravanes de mulets depuis l’étang de Berre. Denrée prisée à l’époque, il fallait ruser d’ingéniosité pour éviter les voleurs et brigands. Ainsi, les marchands passaient par des chemins moins accessibles mais plus sécurisés. Ancien chemin du sel, le sentier que vous empruntez actuellement reliait le Pas dèi ensarris (pas du bât de l'âne) en amont de Sivergues, la ferme de Salen en bord de plateau et le hameau de Rocsalière qui domine la ville d'Apt.

  • Point de vue

    Un paysage de carte-postale...

    Sur le plateau des Claparèdes, le Grand Luberon est très présent dans le paysage. Le plateau est aussi un promontoire qui offre des fenêtres sur le Mont-Ventoux au nord et les Alpes plus à l'est. L’un des symboles des Claparèdes est le moutonnement violet de la lavande de juin à juillet. L'automne et l'hiver révèlent la présence de belles fermes, bories et murs de pierre sèche. Autant d’édifices qui résultent de l'épierrage des champs, témoins d'une présence humaine ancestrale.

  • Patrimoine et histoire

    Plateau des Claparèdes

    Le nom des Claparèdes vient de « clapas » qui signifie « tas de pierres » en provençal. De nombreux cabanons en pierre sèche sont présents sur ce plateau qui s’étend de Castellet à Lacoste sur une dizaine de kilomètres. Anciennes terres de céréales, la culture de la lavande et lavandins est aujourd'hui la plus répandue sur le plateau des Claparèdes.

  • Patrimoine et histoire

    Les pierres, malheur des agriculteurs !

    Les petits cabanons de pierre ou bories que vous apercevez un peu partout dans le Luberon ont été construits avec les pierres extraites des champs par les paysans de l’époque. Aujourd’hui, c’est toujours le même problème pour les agriculteurs du Luberon qui doivent épierrer leurs champs plusieurs fois par an. Et même si la vente des pierres leur permet de gagner un peu d’argent, ces pierres sont un fléau pour le matériel agricole, casse et usure étant monnaie courante !

  • Flore

    Lavande ou lavandin ?

    La lavande aspic (Lavandula latifolia), à larges feuilles blanchâtres, est une plante des étages méditerranéens. La lavande fine (Lavandula angustifolia) à feuilles étroites, est quant à elle plus montagnarde (jusqu'à 1500 m d'altitude). Même si la Lavande fine est parfois cultivée en montagne, c'est ordinairement le Lavandin, hybride des deux et plus productif, qu'on observe dans les champs du plateau des Claparèdes. Attention, ces cultures sont le fruit d'un dur travail agricole, merci de ne pas cueillir !


Description

Remonter à droite sur la D113 et virer à gauche. Devant la mairie, aller tout droit. A l’angle de l’auberge, descendre à gauche. Déboucher sur la D113 (circulation !), passer le pont et monter à gauche jusqu’au hameau de Deyme. Poursuivre le chemin de terre, puis s’élever tranquillement vers le plateau.

1- Au carrefour "Les Ramades", virer à droite et descendre jusqu’au bord de la falaise. Poursuivre à gauche le sentier qui se faufile au bord du vide. Plus loin, ne pas s'engouffrir à droite sur un raccourci mais poursuivre tout droit et au carrefour évident juste sous MArenon, virer à droite et dévaler les lacets du "Chemin dei frau", anciennement caladé (GR-GRP®). En bas des lacets (caïrn), prendre à droite. Au carrefour ''Chemin dei Frau'', virer à gauche, franchir le pont sur l’Aiguebrun et remonter en face.

2- Au carrefour "Aiguebrun", tourner à gauche, puis 30 m plus loin, prendre à gauche direction "Sivergues". Après une succession de raidillons et petites descentes, repérer sur une pierre plate l’indication "Sivergues". Quitter les rives de l’Aiguebrun et s’élever progressivement. Continuer le chemin rocailleux jusqu’au village de Sivergues.

3- Grimper en face la calade. Prendre à gauche et rejoindre l’entrée du village. A hauteur du parking, emprunter à gauche la piste de Chantebelle et au 1er virage, suivre le chemin tout droit. Passer deux virages et continuer à descendre le chemin caillouteux. Passer une section caladée et aboutir au fond du vallon. Partir à droite, franchir à gué l’Aiguebrun, puis remonter la rive opposée. Passer une section caladée et continuer en face le chemin très caillouteux. Passer un virage à gauche, puis virer à droite au croisement suivant. Remonter le sentier qui serpente entre les enclos à chevaux. Atteindre le plateau et poursuivre bien en face le sentier ombragé qui passe entre de vieux murs.

4- Au carrefour "Barbe Blanche", tourner à gauche et emprunter la petite route qui traverse le plateau des Claparèdes. Au carrefour "Chante Duc", poursuivre tout droit, dévaler les trois lacets et continuer jusqu’à Buoux.

Itinéraire du réseau touristique départemental de randonnée de Vaucluse (PDIPR 84).

  • Départ : parking du village, Buoux
  • Arrivée : Buoux
  • Communes traversées : Buoux, Sivergues et Saignon

Météo


Profil altimétrique


Recommandations

  • Après le point 1 : prudence, passage au bord du vide.
  • Entre les points 3 et 4 : passage à gué.
  • Après le point 1 et 2, puis avant et après le point 3 : attention aux chevilles sur les sections de chemin caladées et rocailleuses.
  • ATTENTION ZONE PASTORALE en chemin : en présence de chiens de protection venus à ma rencontre, je ne les caresse pas ni ne les menace. Je m'arrête, puis j'attends patiemment la fin du ''contrôle'' avant de reprendre calmement mon chemin en contournant le plus possible le troupeau. De préférence, ne pas emmener son chien et, sinon, bien le tenir en laisse.
  • Attention aux ruches installés sur le plateau des Claparèdes ; je fais un détour si besoin.
  • RISQUE INCENDIE : seul le fond de l'Aiguebrun entre le parking de La Tuilière et le carrefour ''Aiguebrun'' situé juste en amont de l'Auberge des Seguins est ouvert au public l'après-midi en risque incendie ''très sévère'' (fermé en risque ''exceptionnel''). Je me renseigne avant de partir sur les conditions et réglementations d’accès aux massifs forestiers.

Lieux de renseignement

Luberon Géoparc mondial UNESCO

60, place Jean Jaurès, 84400 Apt

https://www.parcduluberon.fr/unesco-geoparc/stephane.legal@parcduluberon.fr+33 (0)4 90 04 42 00

Maison du Parc naturel régional du Luberon

60, place Jean Jaurès, 84400 Apt

https://www.parcduluberon.fr/accueil@parcduluberon.fr+33 (0)4 90 04 42 00

Au cœur du centre ancien d’Apt, la Maison du Parc du Luberon vous accueille dans un hôtel particulier du XVIIIème siècle.
Informations touristiques et vente de livres, cartes, topoguides.
Musée de géologie, visite gratuite.

Ouvert du lundi au vendredi de 9h à 12h et de 13h30 à 17h30.

En savoir plus

OTI Pays d’Apt Luberon

788 avenue Victor Hugo, 84400 Apt

http://www.luberon-apt.fr/oti@paysapt-luberon.fr+33 (0)4 90 74 03 18
L’espace d’accueil principal situé à APT est un lieu d’expériences et d’évènements ouvert à toutes et à tous : professionnels du tourisme, expositions diverses, rencontres, réunions, conférences de presse... Un véritable centre d’échanges ! Une borne pour recharger les vélos électriques BOSCH a été installée dans le bureau.

Bureau d'Apt
788 Avenue Victor Hugo 84400 Apt
T. +33 (0)4 90 74 03 18
Ouvert toute l'année 
Ouvert du lundi samedi de 9h30 à 12h30 et de 14h à 18h. 
Fermé dimanche et jours fériés (hors juillet et août)
Du 1er octobre au 31 mars : Fermé le mercredi, dimanche et jours fériés.

Bureau de Bonnieux
1 Rue Victor Hugo 84480 Bonnieux
T. + 33 (0)4 90 75 91 90
Ouvert du lundi au samedi de 9h30 à 12h30 et de 14h à 18h jusqu'au 30 septembre.
Fermé dimanche et jours fériés.
 
Bureau de Céreste
Boulevard Victor Hugo 04280 Céreste
T. +33 (0)4 92 79 09 84
Ouvert du 17 avril au 30 septembre du lundi au vendredi de 9h30 à 12h30 et de 14h à 18h.
Fermé samedi, dimanche et jours fériés.
 
Bureau de Lacoste
La Cure - 36, place de l'Eglise 84480 Lacoste
T. +33 (0)4 90 06 11 36
Ouvert toute l'année
Du lundi au vendredi de 9h à 11h30 et de 13h30 à 17h. 
Le samedi de 9h à 11h30.
Fermé dimanche et jours fériés.
 
Bureau de Ménerbes
Avenue Marcellin Poncet 84560 Ménerbes
T. +33 (0)4 90 72 21 80 
Ouvert toute l'année
Ouvert uniquement le matin de 9h à 12h du mardi au samedi jusqu'au 30 avril.
À partir du 2 mai du mardi au vendredi de 9h à 12h et de 13h30 à 17h. 
Le samedi de 9h à 12h.
Fermé dimanche, lundi et jours fériés.

Bureau de Roussillon
19 Place de la Poste 84220 Roussillon
T. +33 (0)4 90 05 60 25
Ouvert toute l'année
Du lundi au samedi de 9h30 à 12h30 et de 14h à 18h.
Fermé dimanche et jours fériés (Hors juillet et août)

Bureau de Saint-Saturnin-lès-Apt
Avenue Jean Geoffroy 84490 Saint-Saturnin-lès-Apt
T. +33 (0)4 90 05 85 10
Ouvert du 13 juin au 15 septembre du mardi au vendredi de 9h30 à 12h30 et de 14h à 18h.
Fermé samedi, dimanche, lundi et jours fériés.
En savoir plus

Accès routiers et parkings

À 8 km au sud d'Apt par la D113 et à 12 km au nord de Lourmarin par la D943 et D113.

Stationnement :

Parking à l'entrée nord du village.

Accessibilité

Rando avec âne
Numéro de secours :114

Source

Luberon Géoparc mondial UNESCO

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