MÉRINDOL - Entre garrigue et Durance
« Le plan d’eau en amont du barrage de Mallemort sur la Durance, est de première importance pour les oiseaux. Il est par exemple le plus grand dortoir hivernal de la région pour le cormoran ! Avec sa richesse en faune donc en proie, la Durance offre un terrain de chasse privilégié pour les rapaces, comme le Grand Duc ou l’Aigle de Bonneli, qui nichent dans les falaises du Petit Luberon toutes proches ». Aline Salvaudon, responsable biodiversité, géologie et ressources naturelles au PNR Luberon.
Les 22 patrimoines à découvrir
- Savoir-faire
ENS késako ?
La Garrigue à Mérindol (55 ha) labélisé Espace Naturel Sensible (ENS) par le Département de Vaucluse, est un espace remarquable tant au niveau forestier, qu'écologique et paysager. La pinède, associée à des zones agricoles préservées et à des milieux humides en lien avec la Durance, offre différentes conditions écologiques et ambiances favorables à diverses espèces de la faune et de la flore. Les ENS sont dotés d'un plan de gestion qui précise les objectifs d'aménagement, d'entretien, de gestion et d'ouverture au public du site, ainsi que le programme d'actions pour les atteindre. Ceci avec la double préoccupation de préserver le milieu naturel et le paysage et de permettre sa découverte par le public.
- Savoir-faire
Sentier TH de La Garrigue
Aménagé en 2020 par Luberon Monts-de-Vaucluse Agglomération, labélisé Tourisme et Handicap pour quatre déficiences (moteur, visuel, auditif, mental), le Sentier de La Garrigue, situé au coeur de la forêt communale de Mérindol labélisée Espace Naturel Sensible, est un cheminement en aller-retour de 1,2 km, totalement sécurisé menant à un belvédère qui surplombe la Durance. Il est agrémenté d’un parking dédié, d'aires de repos, de mobiliers puis de panneaux d’interprétation adaptés. Ce sentier, bien exposé et praticable toute l'année, favorise l’accueil et l’intégration des personnes en situation de handicap, mais permet également aux séniors, familles, personnes accidentées de la vie, de s'immerger en toute confiance dans une espace naturel protégé.
- Faune
Le lézard ocellé
Ici, on l’appelle la rassade. Il mesure jusqu’à 75 cm : c’est le plus grand lézard d’Europe. De mars à novembre, on peut le voir se chauffer au soleil ou chasser des insectes. Il s’abrite dans les tas de pierres et les arbres creux, notamment les vieux amendiers situés au nord de La Garrigue. Cette espèce est vulnérable, protégeons-la !
- Faune
Points d'écoute oiseaux
En 2016, l’inventaire des oiseaux par point d’écoute sur La Garrigue a permis de recenser 59 espèces, dont 37 espèces potentiellement nicheuses et 43 espèces protégées au niveau national. Dans les milieux forestiers, on trouve majoritairement des espèces très communes comme le Rougegorge familier, le Pigeon ramier, le Pinson des arbres et la Mésange charbonnière. On note également la Grive draine (très rare en plaine) et la Sitelle torchepot (liée à la présence de Chêne pubescent matures). La Tourterelle des bois reste rare mais on note une belle population du Loriot d’Europe.
- Eaux et rivières
La Durance, reine de la Provence
Prenant sa source au mont Genèvre dans les Hautes-Alpes, la Durance poursuit sa course dans les Alpes-de-Haute-Provence pour ensuite matérialiser la limite entre Bouches-du-Rhône et Vaucluse. Une fois franchie la clue de Mirabeau, La Durance s'étale de Jouques à Avignon où la rivière se jette dans le Rhône au sud-ouest de la Cité des Papes. Cependant, il y a 200 000 ans, cette rivière était un fleuve qui passait par le seuil de Lamanon pour aller se jeter directement dans la mer, édifiant son delta à l’emplacement actuel de la plaine de la Crau.
- Eaux et rivières
Les crues de la Durance
La Durance, issue d’un bassin versant très vaste où de nombreux affluents de montagne peuvent donner de grande quantité d’eau en période d’intempéries, fait subir des crues rares mais puissantes. Aussi, depuis la construction des grands réservoirs de Serre-Ponçon et du Verdon, les mécaniques d’inondation ont souvent été modifiées. Certaines zones ont vu les risques d’inondation s’accroître tandis que d’autres sont aujourd’hui moins submersibles.
- Flore
Xéro-thermophiles et saxicoles...
La falaise ci-dessous, exposée plein sud, accueille un cortège classique d’espèces dite xéro-thermophiles et saxicoles, adaptées à ces conditions extrêmes de chaleur, de sécheresse et d’absence de sol. Parmi les espèces les plus caractéristiques, on peut citer le Phagnalon sordide (Phagnalon sordidum), le Stipe d’Offner (Stipa offneri), la Globulaire buissonnante (Globularia alypum), l’Oeillet de Godron (Dianthus godronianaus) ou encore l’Orpin de Nice (Sedum sediforme).
- Géologie
Génèse et agencement de la colline
Si la partie basse de l’ENS de La Garrigue est située dans le lit géologique de la Durance, la colline de La Garrigue est composée de calcaires lacustres, formés dans des eaux de lacs (oligocène), puis couverts par des dépôts fluviaux et glacières (glaciations Riss et Würm). Le plateau ainsi constitué de galets, graviers, sables et limons est favorable aux habitats naturels méditerranéens à tendance neutre, voire un peu acide en surface, contrastant avec les vastes formations calcaires voisines du massif du Luberon.
- Géologie
Des galets de couleurs
Pendant la balade, vous trouverez souvent sous vos pieds des galets. Un galet est un morceau de roche arraché par l'érosion et arrondi par son transport dans un cours d'eau. Il y en a de toutes couleurs et certains viennent de loin, du massif alpin. Nous sommes 20 à 25 m au-dessus de la Durance et pourtant c'est bien elle qui a déposé ces galets lors de la dernière glaciation entre 60 000 et 15 000 ans.
- Flore
Vaillantes garrigues !
Sur le plateau, on retrouve plusieurs ‘’faciès’’ de garrigues dont la garrigue à Chêne kermès (Quercus coccifera) qui occupent la majorité de la partie sud du plateau, puis la garrigue à Romarin (Rosmarinus officinalis) un peu plus loin côté nord du chemin, mais aussi la garrigue à Ciste blanc (Cistus albidus) dans les trouées et ourlets de la pinède. Ces formations arbustives et sous-arbustives connaissent sur le site une dynamique qui se fait détriment des espaces de pelouse sèche. C’est une dynamique naturelle et habituelle en l’absence de pâturage.
- Faune
Le bruant ortolan
Ce petit oiseau est un migrateur qui rentre chaque année nicher dans la région. Il apprécie la chaleur et on peut le retrouver dans les garrigues les plus ouvertes du Luberon ou encore sur les crêtes. Il est reconnaissable à son cri mélancolique. Autrefois, il était chassé et très prisé dans la région. Heureusement aujourd’hui, sa chasse n’est plus pratiquée.
- Eaux et rivières
Petits mais foisonnants !
Le long des fillioles, ces petits canaux d’irrigation, une végétation luxuriante s’est installée. On trouve ainsi de nombreuses laîches (Carex spp.) ainsi que des espèces telles que la Guimauve officinale (Althaea officinalis), l’Aristoloche à feuilles rondes (Aritolochia rotunda), plante hôte de la chenille du papillon Diane (Zerynthia polyxena), l’Iris faux-acore (Iris pseudacorus), le Lycope d’Europe (Lycopus europaeus) et bien d’autres encore. Bien que d’une faible expansion, ces habitats sont précieux et présentent des enjeux de conservation forts pour la vulnérabilité de la flore et de la faune qu’ils sont susceptibles d’abriter.
- Patrimoine et histoire
Le Vieux canal
Ce canal issu de la prise d’eau volante du lieu-dit de la Barricade située 500 m en amont, construite et reconstruite au gré des humeurs et des crues de la rivière à l’aide de pieux ancrés péniblement au fond du lit, faisait partie de la portion commune des canaux de Cabedan-neuf, l'Isle et Carpentras situés en aval. En 1955, avec les grands travaux d’aménagements de La Durance dont la construction du Barrage de Serre-Ponçon, la prise d’eau initiale du Canal Mixte est réaménagée et sécurisée à hauteur de la retenue de Mallemort, et le canal originel a été délaissé.
- Eaux et rivières
La ripisylve, un concentré de vie !
Les zones de ripisylve, étymologiquement ”la forêt des rives”, sont les boisements bordant les rivières. Constitué essentiellement d’essences de bois tendre comme les peupliers, saules, frênes, aulnes, ce corridor entre les milieux terrestres et le milieu aquatique joue un rôle essentiel pour de nombreuses espèces ; libellules, grenouilles, oiseaux, chauves-souris… La ripisylve apporte ombre et fraicheur aux poissons et un refuge préservé au sein des racines. Les castors raffolent de jeunes pousses pour se nourrir, tandis que les arbres plus âgés sont utilisés pour construire leur hutte. Les chauves-souris hibernent dans les écorces fissurées et se déplacent en suivant cette ligne boisée. Depuis 1958, sur le bassin versant de la Durance, la surface occupée par les ripisylves a augmenté de 30%. Ces boisements sont parfois morcelés ou en mauvais état. C’est pour restaurer ce milieu remarquable que des opérations de plantations sont réalisées par le Syndicat Mixte d'Aménagement Vallée de la Durance (SMAVD).
- Faune
Oiseaux d’eau et des zones humides
La diversité des milieux naturels autour du plan d'eau constitué en 1964 par la construction de la retenue de Mallemort, tels que roselières, plages de galets, vasières, formations buissonnantes et herbacées, forêts riveraines, sont autant d’habitats pour de nombreuses espèces dont plus de 200 espèces d’oiseaux. Depuis cet observatoire mis en place à l’initiative du Parc du Luberon en 1996, il est possible d’observer des oiseaux d’eau et des oiseaux de zones humides. En automne - hiver, on peut y appercevoir des hivernants tels que la Bécassine des marais (rare), le Chevalier cul blanc (rare), le Petit gravelot (rare et nicheur), puis des sédentaires dont notamment le Canard colvert, le Goéland leucophée, le Grand cormoran, le Héron cendré... Les oiseaux visibles au printemps - été sont le Sarcelle d’été (rare), le Sterne pierregarin (nicheur), qui croiseront des sédentaires tels que l'Aigrette garzette, le Cygne tuberculé (nicheur), le Grèbe huppé (nicheur), le Grèbe castagneux...
- Faune
Richesse écologique
Le parti retenu de l'aménagement de la vallée pour la production hydroélectrique, l'irrigation et les voies de comminication, n'empêche pas pour autant la Durance de rassembler une richesse écologique exceptionnelle, et pas que des oiseaux d'eau ou aquatiques ! On peut y observer également d'autres oiseaux comme le Milan noir, le Guêpier d'Europe, le Bouscarle, le Loriot, la Rousserolle effarvatte, l'Hirondelle de rivage... Puis on peut aussi y trouver des mammifères aquatiques tels que le Castor, le Ragondin, la Loutre ou le Campagnol amphibie.
- Eaux et rivières
Précieux arrosage gravitaire
Les fillioles, petits canaux d’irrigation initiés dès le XIIe s. et fruit d’une gestion et d’une maitrise de l’eau ancestrales, portée notamment par la présence des canaux vauclusiens, ont fait la prospérité des plaines agricoles de la vallée de la Durance et du sud Luberon. Sur Mérindol, le réseau de fillioles parcourt la commune sur 49 km. Ce réseau est géré et entretenu par l’Association Syndicale Autorisée du canal de Mérindol qui assurent notamment le faucardage et le délimonage. Cependant ces petits canaux apportent bien d’autres bénéfices, ils drainent également les eaux de pluie provenant de la zone urbanisée, assurent la recharge des nappes phréatiques, permettent le maintien d’une flore hygrophile diversifiée et participent à la typicité de notre paysage provençal.
- Eaux et rivières
Dilemme de la dérivation
En 1955, l’État a décidé d’aménager la Durance et le Verdon pour produire de l’électricité, fournir de l’eau pour l’irrigation, assurer l’accès à l’eau potable des villes et lutter contre les petites et moyennes inondations. EDF a ainsi construit 17 barrages dont le grand barrage réservoir de Serre-Ponçon, un canal dit usinier, 30 centrales hydroélectriques dont 15 sur le canal usinier. Mais la dérivation de la majeure partie de l’eau de la Durance dans le canal usinier ne laisse que 1/20 du débit naturel en moyenne Durance. Cela entraine une recharge insuffisante des nappes alluviales, un faible auto-nettoyage de la rivière, des périodes d’étiages plus sévères aggravés par le changement climatique et une moindre continuité écologique entre zones de ripisylve. Aujourd'hui plus que jamais, le défi est de concilier une production d’électricité renouvelable, une ressource en eau équitable et une protection des écosystèmes.
- Eaux et rivières
L'Union du canal Luberon Sorgue Ventoux
Le Canal de l'Union (initialement Canal mixte) prélève ses eaux de la Durance au niveau de la retenue de Mallemort construite en 1955. Il alimente successivement les canaux de Cabedan Neuf (1765 pour irriguer les plaines de Cheval Blanc, Cavaillon, Les Taillades), de Saint-Julien (le plus ancien canal dérivé de la Durance encore en activité, conçu en 1171 pour activer des moulins puis irriguer les terres cultivées de Cavaillon), de l’Isle (1849, pour desservir Lagnes, Robion, Isle-sur-La-Sorgue et le Thor) et de Carpentras (1853, pour irriguer les terres du Comtat Venaissin). L’eau ainsi acheminée est distribuée aux collectivités, particuliers et agriculteurs irrigants. Ce sont ainsi au total près de 20 000 ha qui sont irrigués à partir du canal de l'Union répartis sur 56 communes du Vaucluse.
- Faune
Rainette méridionale
La Rainette méridionale (Hyla meridionalis Böttger), est une petite grenouille d’un vert vif. Elle se fait très discrète la journée où elle s’accroche aux branches ou feuilles de roseaux. Elle vit près des marres, plans d’eau ou vieux canal comme ici. À l’approche de période pluvieuse ou pendant le chant des mâles de mai à juillet, son chant peut être entendu près d’un kilomètre à la ronde !
- Eaux et rivières
Les milieux humides du Vieux canal
Alimenté par la nappe phréatique, le Vieux canal abandonné offre un écoulement permanent très lent qui vient se jeter, via un passage busé, dans le canal de l’Union. Du fait de ce faible écoulement et de la matière organique apportée en quantité par le boisement riverain, les eaux ont une concentration élevée d'azote et de phosphore, favorable à une croissance excessive des algues. Malgré ces conditions particulières et la faible quantité de lumière, une riche vie aquatique s’est installée ici, profitant pleinement de ce que peut apporter le milieu : une eau calme favorable à de très nombreux invertébrés et poissons, qui sont eux-mêmes au menu de nombreux oiseaux ou tortues. Dans ce petit écosystème, quelques espèces remarquables, comme le Martin-pêcheur d'Europe ou la Cistude d’Europe, ont ainsi trouvé leur place.
- Flore
La garrigue méditerranéenne
À gauche du chemin en direction du parking de départ, se répand une formation de garrigue méditerranéenne basse. Ce sont des formations où dominent nettement les petits ligneux comme le Thym (Thymus vulgaris), la Fumanas (Fumana ericifolia, F. thymifolia) ou ‘’fausse bruyère’’, puis de nombreuses autres espèces sous-ligneuses et herbacées. Sur l’ensemble des différents ‘’faciès’’ de garrigue du plateau il a été récemment dénombré plus de 200 espèces de plantes. Les criquets, sauterelles, papillons et coléoptères égayent les clairières au printemps.
Description
Du parking de La Garrigue, s’enfoncer tout droit dans le bois en suivant le cheminement accessible aux personnes en situation de handicap. Au premier croisement, poursuivre tout droit, puis au carrefour en Y continuer à droite. Atteindre le belvedère sur la Durance (attention falaise, ne pas s’avancer au-delà des garde-corps !).
1- Face à la Durance, emprunter à droite le chemin en bord de plateau. Au premier croisement, avancer tout droit puis, 400 m plus loin, poursuivre légèrement à droite sur le chemin le plus marqué.
2- Ne pas manquer à gauche le chemin qui descend vers le vallon du Grand Jardin. L'emprunter, passer en contrebas devant une maison, longer les cultures puis, au déboucher d’une petite route, passer en face sous la voie de chemin de fer. Emprunter tout droit la seconde route et s’avancer jusqu'au parking de départ du Sentier de l'observatoire. Là, s'engager légèrement à droite sur un chemin de terre. Franchir le petit pont qui enjambe l’ancien canal d'irrigation.
3- Juste après le pont, avancer tout droit. Déboucher sur un autre chemin. Virer à gauche puis, 50 m plus loin, gravir à droite les escaliers et atteindre la digue et l’observatoire ornithologique.
4- Revenir sur ses pas, descendre les escaliers (prudence les marches peuvent glisser !) et une fois en contrebas, virer à gauche. Laisser à droite le chemin emprunter à l’aller et continuer tout droit le chemin en pied de digue. À la patte d’oie, poursuivre à droite, longer un grand champ puis ensuite filer à droite en parralèle du canal d'irrigation. S’avancer jusqu’au bout du chemin de terre.
5- Juste avant la route, bifurquer à droite, s’engouffrer dans le sous-bois et par un joli sentier, longer le vieux canal. Revenir ainsi jusqu'au petit pont franchit à l'aller.
3- Bifurquer à gauche, franchir le pont, puis remonter jusqu'à la forêt de La Garrigue par l’itinéraire emprunté à l’aller.
2- Au sommet du raidillon, cette fois poursuivre tout droit sur 80 m. À l'intersection suivante, filer à droite, passer un long virage, poursuivre ensuite le chemin principal puis revenir tranquillement au parking de départ.
Itinéraire du réseau touristique départemental de randonnée de Vaucluse (PDIPR 84).
- Départ : Parking de La Garrigue, Mérindol
- Arrivée : Parking de La Garrigue, Mérindol
- Communes traversées : Mérindol
Météo
Profil altimétrique
Recommandations
- Au point 1 : attention falaise, ne pas s’avancer au-delà des garde-corps !
- Aux points 3, puis avant et après le point 5 : prudence, ne pas s’avancer trop près du bord du canal d'irrigation (baignade strictement interdite !).
- Au point 3 : rester discret si vous voulez observer les oiseaux depuis l’observatoire.
- RISQUE INCENDIE. Le feu est l’ennemi de la forêt… et du randonneur ! Je ne fume pas en forêt et n'y allume pas de feu, d'autant ce quelle que soit la saison, c'est interdit ! En période estivale, avant de partir en balade, je me renseigne sur les conditions et réglementations d’accès aux massifs forestiers.
Lieux de renseignement
Maison du Parc naturel régional du Luberon
60, place Jean Jaurès, 84400 Apt
Au cœur du centre ancien d’Apt, la Maison du Parc du Luberon vous accueille dans un hôtel particulier du XVIIIème siècle.
Informations touristiques et vente de livres, cartes, topoguides.
Musée de géologie, visite gratuite.
Ouvert du lundi au vendredi de 9h à 12h et de 13h30 à 17h30.
OTI Destination Luberon
Place François Tourel, 84300 Cavaillon
Horaires d’ouverture :
CAVAILLON
Du 1er avril au 30 septembre : du lundi au samedi et jours fériés : 9h -12h30 / 14h30-18h.
Du 1er octobre au 31 mars : du lundi au vendredi et jours fériés : 9h-12h30 / 14h-17h30. Samedi : 9h-12h30.
Fermé le dimanche.
Fermetures exceptionnelles le 1er janvier et le 25 décembre.
GORDES
Du 1er avril au 30 septembre : du lundi au dimanche et jours fériés : 9h-12h30 / 14h30-18h.
Du 1er octobre au 31 mars : du mardi au samedi et jours fériés : 9h-12h30 / 14h-17h30.
Fermé le lundi et dimanche.
Fermetures exceptionnelles le 1er janvier et le 25 décembre.
LOURMARIN
Du 1er avril au 30 septembre : du lundi au dimanche et jours fériés : 9h-12h30 / 14h30-18h.
Du 1er octobre au 31 mars : du mardi au samedi et jours fériés : 9h-12h30 / 14h-17h30
Fermé le lundi et dimanche.
Fermetures exceptionnelles le 1er janvier et le 25 décembre.
Accès routiers et parkings
À 18 km à l'est de Cavaillon, par la D973. L'entrée du parking de La Garrigue se situe à droite, 500 m après le gros rond point au pied du village (direction Lauris).
Stationnement :
Accessibilité
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